Situation Professionnelle ,SP Modélisme.

Partie 2

Appréhender la nécessité d'organiser les travaux comptables

La comptabilité est régie par différents principe :

- le principe d'image fidèle ;

- le principe de comparabilité et continuité d'exploitation ;

- le principe de régularité et de sincérité ;

- le principe de prudence ;

- le principe de permanence des méthodes ;

- le principe de non compensation ;

et, le principe d'indépendance des exercices. Ce sont ces différents principes, et les obligations qu'elle avait envers son entreprise vis à vis du projet d'investissement de M. Gari que Mme Lam est obligée de produire ces documents.

Les documents produits intéressent divers acteurs interne et externe à l'entrepris : les associés,  pour les dividendes ; la conseillère BNP pour la validation ou non du projet d'investissement et l'administration fiscale pour les divers contrôles qu'ils auront à effectuer.

La société Modélisme Provence a pour obligation d'établir ces documents tout les 12 mois, cette période correspond à l'année comptable.

L'élaboration de ces documents a été possible grâce au travail de Mme Lam, M. Ramirez et M. Di Lucca. Mais dans un ordre chronologique, c'est dans un premier temps M. Di Lucca, ensuite M. Ramirez et enfin Mme Lam avec ses travaux d'écritures en fin d'année.

Observer l'enregistrement des pièces justificatives

En observant les travaux de M. Di Lucca, on observe qu'entre le 10 et le 14 avril, Aéro Club 13 a passée une commande auprès de la société Modelisme. Suite à cette événement, deux documents ont été produits, dans un premier lieu, un bon de commande, qui renseigne Modelisme Provence sur les produits désirés par Aéro Club 13, ensuite vient la facture entraînant le règlement de celle ci.

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Dans le document de gauche, qui est la facture, les montant surlignés en jaune sont eux qui seront retranscrit dans le document comptable qui est celui de droite. La pièce comptable nous montre que l'entreprise procède à l'enregistrement en double partie, cette méthode permet d'avoir une réciprocité entre les comptes, ce qui permet de vérifier que les débits soient bien égaux aux crédits et donc de voir si les comptes sont bien soldés ou non. Cela nous montre aussi que le détails des articles commandés par Aéro Club 13 n'est pas noté dans le compte, mais les articles sont référencés en tant que marchandises. On constate aussi, que cette vente fait intervenir 3 comptes dans l'enregistrement comptable : le compte client Aéro Club 13 qui est le 411999, le compte de vente de marchandise, qui est le 707 et enfin, le compte de TVA qui est le 445712. Le fait de suivre distinctement ces différents compte permet de voir, par exemple, la TVA qui sera collectée sur la vente, mais aussi facilite le report d'information dans le livre comptable. On peut voir que la TVA représente 20 % du net commercial de la vente ; la TVA (Taxe sur la valeur ajoutée) est un impot prélevé par l’État sur toute la valeur ajoutée générée par une entreprise, et son taux varie selon ls marchandises vendues. Il peut être à 20 % comme dans le cas présent, qui est le taux normal, il y a aussi le taux réduit à 10 % et enfin, celui à 5,5 %. L'utilisation du journal permet de simplifier les enregistrements comptable car il permet d'afficher le coûts des différents charges, il détaille ainsi les chiffres de la vente, de l'achat d'un bien ou bien de l'utilisation d'un service.

Appréhender la chronologie des travaux comptable

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Le report des informations depuis le journal a été fait d'un manière spécifique, tout d'abord par numéro de comptes (3 comptes différents au total), et ensuite par ordre chronologique.

Ces trois comptes correspondent à 2 classes différentes mais à 3 sous classes différentes :

dans un premier lieu, le compte 411 qui est un compte de tiers, avec comme sous classe : « clients et comptes rattachés », le second compte est le compte 445712 qui est également un compte de tiers, mais lui, se situant dans la sous partie « État et autres collectivités publiques ». Et enfin, le dernier compte est le compte 707, qui est un compte de produits faisant partie de la sous partie «  ventes de produits fabriqués, prestation de services, marchandises ».

Le choix de ces différents comptes ne s'est pas fait au hasard, pour utiliser les dits comptes, Mme Lam s'est référée au PCG (Plan de Comptable Général), qui est une réglementation éditée par l'Autorité des normes comptable. Cette réglementation définit les règles comptables applicables par les entreprises se situant en France, notamment sur la présentation des comptes financiers, bilan, comptes de résultats etc.

Dans les lignes de comptes ci-dessus, il y a une colonne « libellée », celle permet au comptable, en cas de litige par exemple, de vérifier la concordance entre le montant porter à l'enregistrement comptable et celui présent sur la facture.

D'une manière plus général, les compte permette aussi une plus ample facilité dans la recherche d'informations, si toute ces informations n’étaient regroupées que dans un seul et unique compte, les opération comme celle du ratio général de durée de crédit client qui utilise seulement les soldes des comptes clients (411, 413, 416), les avances clients (419), les effets escomptés non échus, et le chiffre d'affaires TTC, sans l'utilisation de différents comptes, cette opération presque banale deviendrait beaucoup plus compliquée et longue à réalisée.

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Le report des informations surlignées ci-dessous dans la balance s'est fait en suivant le principe des débits et des crédits. Tout en continuant de faire la différence entre les 3 comptes.

La balance permet de vérifiée les créances en cours, celle-ci par le biais des débits/crédits montre si nos clients nous doivent encore de l'argent ou non, ou inversement, si nous devons de l'argent à nos clients, ou même à nos fournisseurs.

Le bilan comptable comporte les éléments actifs et passifs de l'entreprise.

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