Premier stage en EHPAD
Étude de cas : Premier stage en EHPAD. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Habby99 • 22 Mai 2022 • Étude de cas • 1 516 Mots (7 Pages) • 385 Vues
Lors de mon premier stage en EHPAD j’ai pu observer et réaliser différents type de soins et particulièrement des soins de proximité.
Aujourd’hui je vais décrire un soin que j’ai pu observer pendant mon stage. Dans un premier temps je vais décrire la situation de soin de proximité , dans un second temps je définirais les concepts d’hygiènes de cette situation, et pour finir je mettrais en évidence les problèmes de la situation et les mettrais en relation avec les concepts d’hygiène
Lors de mon premier stage en EHPAD j’ai pu observer et réaliser de multiple soins, notamment des soins de proximité visant a rétablir l’hygiène corporelle du patient. Durant ces soins de proximité nous sommes au plus proche du patient
Mme P est une patiente âgée de 86ans résident en EHPAD elle vit dans une chambre commune avec monsieur P son mari âgé de 96ans, depuis quelque jours mme P se sent particulièrement fatiguée, elle présente un manque d’appétit et une rhinorrhée. Suite a un cas positif de covid 19 dans l’unité où elle réside, tous les patient sont soumis a un test PCR. Hier les résultats des tests PCR s’avère négatif pour elle mais positif pour son mari.Du fait qu’elle présente des symptômes d’infection au covid 19 et quelle soit cas contact de son mari l’équipe pluridisciplinaires décide de placer mme P en isolement sceptique préventif, en attendant de réaliser un nouveau test PCR. Une affiche ( cf. Annexe 1) est posé sur sa porte pour prévenir de son isolement et des précautions associés.
Aujourd’hui j’observe l’AS réaliser la toilette de madame P, L’AS décide de réaliser la toilette de cette patiente en première, elle rentre dans la chambre de la patiente, sans tablier de protection, elle réalise sa toilette et pendant la réalisation de la toilettes, l’as baisse son masque a plusieurs reprises pour s’adresser a la patiente.
A la fin du soins elle jette ses gants dans une DAOM, mets les vêtements ainsi que les draps sales de Mme P dans le chariot de linge sales. Elle réalise une friction au SHA, et continue son tour des chambres.
Lors de la réalisation d’un soins une IAS (Infections Associées aux Soins) peut survenir, étant donné que le risque zéro n’existe pas, le risque est donc constant et susceptible d’entraîner des dommages graves et irréversibles pour la santé des patients Il est donc nécessaire d’assurer la mise en œuvre de mesures pour lutter contre ces dommages et empêcher qu’ils se réalisent. Cette mise en œuvre passe par le principe de précautions
Premièrement les précautions standards [1] constituent la base de la prévention de la transmission de micro-organismes. Elles doivent être appliquées par tous les professionnels de santé pour tout soin, en tout lieu, et pour tout patient, quel que soit son statut infectieux. Ces précautions standards constitues les normes d’hygiène pour n’importe quel soins, les préalables sont une tenues propre, les avant bras dégagés, les ongles court propre et sans vernis, ne pas porter de bijoux, le lavage des mains ainsi que le port du tablier et de gants pendant un soins de proximité .
Au vue du contexte sanitaires actuel face a la pandémie de coronavirus, le port du masque est devenue une obligation durant toute la prise de poste du soignant pour protéger les patient et le soignant d’une éventuelle infection au covid 19.
Par ailleurs dans la situation évoquée la patiente étant en isolement sceptique préventif lié a une d’infection au covid 19. On appliqueras dans cette situation en plus des précautions standards, les précautions Gouttelettes [2] au vue du mode de transmission du covid. Ces précautions gouttelettes impose la réalisation de la toilette en dernier du patient potentiellement infecté et le port du masque chirurgical des l’entrée dans la chambre du patient. De plus un signalement avec un panneau sur la porte précisant le type d’isolement et les précautions associées est indispensable.
Notre patiente étant en isolement sceptique préventif elles doit absolument réaliser sa toilette en dernier pour éviter l’éventuel propagation du virus lors d’autre soins de proximité avec d’autre patient. Le non on respect de ces précautions complémentaires entrainent une augmentation du risque d’infection croisé au sein de l’établissement.
Lorsque que l’aide soignante réalise la toilette sans tablier elles s’exposent a des projections de liquides biologiques sur sa tenue professionnelle. L’utilisation de cet équipement individuel de protection est pourtant un élément indispensable dans la luttes contres les infections croisés. Le non respect de cette mesure lié aux précautions standard augmentent les risques d’infection croisés avec d’autres patient lorsqu’elle va réaliser les prochains soins.
Enfin le masque devenue obligatoire au sein de tout l’établissement est une nécessité en cette période de pandémie pour la protection de tous les soignants et patients. Le port du masque de manière correct ( cf. annexe 2) est un élément du respect des gestes barrières pour protéger le patient et le soignant face a la propagations du coronavirus. Le port du masque est indispensable notamment en EHPAD près de patient fragile. Même si le fait de baisser son masque est pour permettre de discuter plus intelligiblement avec le patient, on doit faire primer les règles de bonnes pratiques et d’hygiène. Même si nous devons assurer un confort maximal au patient ceci doit se passer dans le strict respect des mesures d’hygiène. La santé des patients en dépende. Toutes les mesures d’hygiènes liés aux précautions standard et/ou complémentaires doivent êtres respecté un maximum pour éviter la transmission des micro organismes pathogènes.
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