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La drague insistante ou maladroite n’est pas un délit, ni la galanterie une agression machiste.

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Par   •  6 Juin 2019  •  Dissertation  •  647 Mots (3 Pages)  •  762 Vues

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La drague insistante ou maladroite n’est pas un délit, ni la galanterie une agression machiste.

Dans une tribune du monde, un collectif de 100 femmes affirme leur rejet du féminisme moderne qui s’apparente, aujourd’hui, à un mouvement qui nourrit la haine envers les hommes. Malheureusement, le féminisme d’aujourd’hui n’exprime plus l’idée originelle, celle qui naquit sous la plume d’Alexandre Dumas et qui représentait de réels combats sociétaux. En occident, aujourd’hui, l’égalité des droits entre les sexes est acquises et rédigée en texte de loi depuis le 4 août 2014, mais cependant, on s’interroge sur la nature de la drague et des premières rencontres entres hommes et femmes. Pour les féministes moderne, draguer s’agit d’un délit et d’une atteinte à la liberté, et que la drague fixe dans nos rues un climat de peur et de méfiance. Malheureusement pour ces féministes, je ne suis pas du tout de cet avis.

Premièrement, la drague de rue est avant tout un moyen de rencontre et un outil de flatterie. Mais de nos jours, chaque action fait par un homme est susceptible d’être jugée et traitée comme un fait sexiste et nos actions sont plus sévèrement punies qu’avant. Mais à contrario, Le fait de voir une femme draguer ne choquera absolument pas les féministes. Ce que je veux dire par là, c’est que chaque geste d’un homme est scruté et peut-être jugé différemment que le geste d’une femme. Prenons par exemple le fait que pour le même crime, à la même gravité d’action, une femme prend en moyenne une peine 3 fois inférieures à celui de l’homme, et c’est exactement pareil pour la drague. En conclusion, les féministes veulent placer la drague dans le cercle des délits pour limiter encore plus l’homme dans sa condition d’homme.

Ensuite, il faut savoir que le féminisme jouit d’une très bonne image dans les différents médias et dans la vie de tous les jours. Aller à l’encontre des pensées des féministes actuelles en crisperait beaucoup. Pour notre sujet du jour, je suis certains que la peur et la méfiance qui émane de la drague de rue est une des conséquences de ce féminisme hyperprésent. Prenons l’exemple du fameux scandale #Metoo, où bon nombre de femmes partageaient leur expérience de dragues. Entre agressions sexuelles et insultes, ces femmes ont présentés ici une toute autre image de la drague. Bien évidemment, les médias se sont emparés de ce phénomène et n’ont pas pris la peine de voir les différentes réactions, comme le #Notallmen qui nous montre que la drague permet de faire d’innombrables rencontres positives et qui met en avant toute la beauté et la magie de la galanterie, qu’elle soit d’origine masculine, ou féminine. En conclusion, cette peur et cette méfiance qui nous est montrés dans les médias n’est que le fruit de ce féminisme névrosé et il n’a jamais été question de juger la drague en tant que délit avant cette « hyperféminisme ».

En conclusion, la drague est et sera toujours l’un des outils de rencontres les plus communs qu’ils soient. Je trouve que tous ces articles dénonçant les galanteries et la drague maladroite ne sont que l’effet indésirable de ce féminisme qui s’est complétement détachée du féminisme de base prôné par exemple par les suffragettes

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