Quelle conception de l'inspiration poétique les Contemplations de Victor Hugo propose-t-il ?

Lecture Analytique

Question:Quelle concetption de l'inspiration poetique ce poème  propose t'il ?

Introduction:Ce poème est extrait des Contemplations de Victor Hugo recueil publié en 1856 qui retrace  l'itineraire du poète profondement marqué par la mort de sa fille Léopldine en septembre 1843, ce texte est datée de juillet 1843 quelque semaine avant la mort de de sa fille mais a été en realité ecrit en 1855 expliquant sa dimenssion mélancolique

du soi

Rappel:Il s'aggira de demontré quelle sont l'est idées que propose ce texte concernant l'inspiration poetique

Plan:Ce poeme empreint de romantisme repose sur la comparaison de la nature source d'inspiration avec un texte dont le sens divin ne demande qu'a être dechiffrer (I)le poète seul capable d'accéder a la vérité manifeste du monde se révèle ainssi un démiurge aux pouvoirs d'élucidation exceptionnels(II)

I L'équivalence divine du livre et de la nature :

(Une nature emplie de Dieu)

-Nature caracterisé l'abondance:enumeration(buissons,brins d'herbes,sources au vers 5)

(l'arabesque des bois sur les cuivres du soir / la bête,le rocher,l'épi d'or  V44,45)

abondance qui reflète le ryhtme regulier et ample de l'alexandrin

-Equivalence Nature Dieu:(le poéme eternel!,la bible non la terre au V2)(ce chiffre enorme DIEU au V47)(on voit les champs mais c'est Dieu qu'on eblouit au V51)

-Dieu donne un sens au monde,à la nature:(Les plaines ou le ciel aide l'herbe a germer ,l'eau les prés sont autant de phrase ou le sage,voit serpenter  des sens qu'il saisit au passage V32)

-Vision Pantheiste du monde:Dieu pour le poéte ce manifeste dans toute la nature

(La nature comme un texte)

-Metaphore filée qui structure le texte:Nature=livre(cherchant a dechiffrer la corolle et la branche au V10)(Car la terre a pour versets les bois et pour strophes les monts ! Au V23-24)Metaphore dont l'efficacitée est renforcée par le parallélisme

-Equivalence étymologique :Lire/Cueillir

-Euivalence du monde et du language:(Il n'est rien dans tout ce peut sonder l'homme qui bien questionner par l'âme ne se nomme V25-26)Ce qui implique plus profondement une équivalence entre dieux la nature et le language

Termes qui renvoie à la nature et au texte:Champs(V64) /chant  phonetiquement et Lis(V52)/Lys

la fleur mais aussi a lire a l'imperatif  c'est un syllepse

Le texte dans sa moralité:Equivalence livre/nature alexandrins qui evoque les sillons d'un champ

qu'arpente le poéte, caracterisation de l'oiseaux avec les couleur blanc et noir (V15) renvoie a la couleur de l'encre et de la page

II La figure d'un poete equivalent a Dieu

(Un être aux pouvoirs exceptionnels,élu de Dieu :

-Le poete est un être capable de voir ce que le commun des mortels ne voit pas:Reference a Orphée

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