Le Mendiant, les Contemplations, Victor Hugo
Commentaire de texte : Le Mendiant, les Contemplations, Victor Hugo. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar cloclodu10 • 15 Novembre 2019 • Commentaire de texte • 1 717 Mots (7 Pages) • 2 941 Vues
FRANCAIS
Texte 4 :
Bac oral « le mendiant », les contemplations, 1856
intro : Victor Hugo :chef de file du romantisme ( les misérables, notre dame de paris…), homme politique, dramaturge il a aussi écrit des pièces de théâtre ( Cromwell ) ; les 2 grands aspects du romantiques, prône la liberté. Il écrit aussi dans la poésie Les châtiments, il critiques la politiques et la république contre Napoléon 3 qu’il surnomme « le petit ». A cause de Napoléon il est en exile. Il lute aussi contre la misère et les inégalités sociales. Il est connu de son vivant grâce a ses obsèques. Demain dés l’aube progressions spatiales et temporelle ou il va retrouver sa fille qui est morte. « Mélancholia » il lutte contre le travail dés enfants, pour lui l’école est une chose primordiale pour créer le citoyen de demain. Il a lutter contre toute les formes d’injustice. Il s’intéresse a ceux qui sont laisser pour compte comme ce mendiant que l’on va observer dans ce poème.
Ce poème « le mendiant » est extrais du recueils « les contemplations » composés de 158 poèmes publier en 1856, poème qui sont rassembler en 6 livres. Les thèmes sont le souvenir, l’amour, la joie, le deuil, et nous avons aussi tous un aspect de poème mystiques. 26 vers qui sont des alexandrins, les rimes sont suivies qui raconte la rencontre entre un narrateur et un mendiant. Dans de nombreuse évoques la métamorphoses de mendiants en dieux quand un homme voix au-delà de leur apparence et est charitable avec eux . Dans un autre poème des contemplation qui s’intitule « les malheureux » qui fait échos au mendiant, VH affirme « le sublime est en bas » , il rejoint donc toute cette tradition médiévale, Antique et biblique qui voit dans la misère un signe divin. On peut se demander comment regard du poète transfigure t’il le portrait du mendiant. Premier mouvements du V 1 à 13 nous sommes dans le récit réaliste d’une rencontre entre le poète et le mendiant. Puis du V 14 à 26 c donc ici la transfiguration du poète mendiant.
Titre : « Le mendiant »
C’est un groupe nominal avec un déterminant défini qui montre que nous connaissons déjà le mendiant, ce n’est pas n’importe qui et c confirmer au vers 6 avec « le vieux »
1er mouvement 1 à 13 : LA RENCONTRE DU NARRATEUR AVEC LE MENDIANT
- vers 1 : « pauvre homme » antéposition de l’adj montre la pitié du poète pour ce mendiant, qui traverse dans le givre et le vent, cette indication temporelle renvoi a l’hiver a l’idée de froid ce qui accentue la détresse du mendiant. Et elle a aussi pour but d’inscrire le récit dans un cadre réelle.
- vers 2 : nous avons l’entrer en scène du narrateur avec « je ». dans les v 2 et 3 nous avons une succession de verbe d’action au passer simple, temps privilégié du récit. Ces verbes d’action renforce l’idée de récit, nous avons aussi la présence de personnages et aussi d’un cadre spatio temporelle, spacio : les synecdoque « ouvre la porte » qui es la porte de la maison qui va accueillir le mendiant, temporelle : le temps. Le narrateur es charitable, hospitalier, il ouvre sa maison aux autres, qui symbolisme son ouverture a l’autre. Le poète est diff des autres hommes.
-vers 4 et 5 : nous avons une description. On poursuit l’encrage réaliste accentué par les éléments du quotidiens : « les ânes, le marché, les paysans ». Elle montre aussi déjà le regard observateur du narrateur. Animalisation pathétique du vieillard avec l’animation de la niche qui est le lieu ou vive les chien.
- Vers 6 et 7 : opposition entre le bat et la monter qui es mis en évidence par le rejets signifiant que le mendiant est rejeter au bas de la société. Au vers 7 « rêve, attendant, solitaire » nous avons un rythme ternaire ( en trois temps) qui a pour bute de caractériser le mendiant. Ces 3 groupes montre que c’est un être isoler qui s’extrait du monde par la pensé comme suggère le sémantisme du verbe rêve.
- vers 8 : il y a un parallélisme avec la césure a l’hémistiche. Cela nous informe sur les attente du mendiant qui semble se contenté de peu, « un rayon du ciel triste » ainsi que a manger « liard de la terre » on peut aussi interpréter ce vers en disant que ça montre son attachement a Dieu et a la nature.
- vers 9 : encore une fois nous avons un parallélisme et coupe a l’hémistiche qui vient confirmé la nature religieuse de l’homme. Il vit de la charité en tendant les main pour l’homme, mais aussi passe son temps a prier.
- vers 10 à 12 : discours direct avec un dialogue entre le narrateur et le veille homme, cela montre qu’il y a du vivant dans se poème donc confirme l’aspect narratif du récit. Les 2 impérative venez et entrez montre que le narrateur poursuit son acte de charité en faisant pénétrer le mendiant chez lui. Dans le vers 11 « Je me nomme le pauvre » il y a un rejet qui met en évidence la désignation du mendiant qui se défini lui même par pauvre. « entrer brave homme » qui a pour bute de faire valoir l’humanité du poète qui reconnaît une qualité moral qui es la bravoure. Ensuite « je lui pris la main » confirme comme idée qu’il veux l’aider donc encore une fois charité du narrateur. On voit que la symbolique de la main est extrêmement forte dans ce poème. Cette main sert a ouvrir la porte, a prié, celle qui mendie, même également celle qui accueil. Cette main est aussi celle qui sert a nourrie. Symboliquement « La jatte de lait » n’a pas été choisis au hasard par Victor Hugo elle fait référence a la pureté grâce a sa couleur blanche.
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