Communication et distraction dans le soin

LE CHOIX DE LA SITUATION

La situation que j'ai choisit d'aborder est, l'ablation d'un cathéter périphérique sur une fillette de 5 ans. Ce soin qui paraît simple, m'a interpellé dans le sens où je n'ai pas l'habitude de soigné des enfants autres que les miens, et de plus je me suis laissé influencer sur la manière dont aller se déroulé le soin.

LA PRÉSENTATION DE LA SITUATION

Mon stage se déroule en service de soin et de réadaptation, c'est mon deuxième stage de troisième année. Le service est sur deux étages. Au premier étage se trouve 12 lits de SSR et 8 lits de chirurgie. Au deuxième étage le SSR est divisé en deux secteurs de 36 patients pour une infirmière et une aide-soignante. Une aide-soignante et un infirmière de journée (8h/15h30) viennent renforcés l'équipe. Cette situation se déroule un vendredi je suis en 12h sur le service de chirurgie. Les opération effectué sont essentiellement de l'ORL avec parfois des enfants, et de la chirurgie esthétique. Le vendredi est souvent consacré aux départs ou à des petites chirurgie ambulatoire. Ma tutrice m'explique qu'il y a deux enfants dans le service que l'on va faire sortir ce jour. Il faut rendre les papiers aux parents et enlever le cathéter obstruait. On prépare le matériel qu'il nous faut pour le soin, l'IDE me montre ce qu'elle a l'habitude d’offrir au enfants. ON gonfle un gant en latex et dessine des yeux et une bouche dessus et on imprime un diplôme du courage.

Ma tutrice me fait entièrement confiance et me demande d'aller effectué le soin seule. L'IDE entre dans la chambre du petit garçon, a ce moment là je ne peux m'empêcher d'écouter et tente d'entrevoir comment elle s'y prend. Le petit garçon se met à pleurer, la maman à côté gêner de faire perdre du temps commence à hausser la voie sur son fils ce qui n'arrange pas la situation. Entendant les pleurs du petit garçon je décide d'aller enfin voir la petite fille dont je doit m’occupai. Je dois l'avouer je ne suis pas tranquille. J’espère au fond de moi que la petite fille ne fera pas pareil. Je frappe, dans la chambre ce trouve la maman et la fillette. Je leur explique ce que je vais faire, la petite fille est contente car elle est pressée de rentrer chez elle. Je m'installe au bord du lit, et j’explique a la jeune patiente que lorsque je vais décoller le petit plastique transparent ça risque de tirer un petit peu la peau. Je la regarde et lui demande si elle est prête. Elle me fais signe de la tête. Je commence à retirer l'opsite, et là elle commence a poussé un petit gémissement, je ralentie mon geste et en continuant je lui demande si elle a des frères et sœurs. Elle ne répond pas vraiment à ma question et commence à avoir les larmes aux yeux, à l'esprit me vient toute suite la question suivante : Comment ferais-tu avec tes enfants ? Puis j’enchaîne, je lui explique alors que j'ai une surprise pour elle car elle est très courageuse et enlève d'un coup le dispositif médical. La petite resta surprise mais finit par me sourire. Je lui met un pansement et la félicite. Je lui remet le ballon au préalablement préparé et son diplôme du courage avec son nom et son prénom dessus. La fillette est ravis et fière de le montrer à sa maman. Tout au long du soin la maman était présente en jetant un œil sur la télévision et son enfant. Quand j'ai quitté la chambre j'ai poussé un soupire de soulagement, car j’étais contente de mon soin. J'avais appréhendé celui-ci alors que finalement.

LA FORMALISATION DU QUESTIONNEMENT

- En quoi l'observation de ce soin pratiquer par l'IDE m'a fais appréhendé ce soin ?

- Si j'étais aller faire le soin sans regardé la prise en charge du garçon, aurais-je mieux gérer mon stress ?

- En quoi la communication m'a

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