Au pays de bjork (analyse de critique)

On comprend bien ici que Thomas Abarnou à somme toute apprécié l’œuvre de Fred Vargas intitulé: Au pays de Bjork. En effet, on le constate lorsqu’il parle de la profondeur du livre en faisant référence à «la psychologie et les passés troubles de ses personnages» mêlés au travers de l’histoire. Selon lui, malgré que l’histoire viens a stagné un certain temps, il n’en demeure pas moins que Thomas Abarnou se sent fasciné par l’univers que l’auteur Vargas à réussi à crée dans ce livre.

Dans cette critique écrite par François Constant, on constate clairement qu’il semble avoir définitivement aimé le livre de Vargas. D’entrée de jeu, il nous fait part de l’appréciation qu’il a pour l’imaginaire ainsi que l’originalité des personnages de l’auteur. On sent que M. Constant apprécie bien les personnages et qu’il est bien heureux de se retrouver dans une nouvelle aventure. Pour sa part, il n’a pas l’impression que l’intrigue du roman est facilement percevable lorsqu’il la décrit comme « habilement menée jusqu’à une fin qui ne se laisse pas deviner. »

Selon moi, le titre du livre Temps glaciaires fait référence de toute évidence à l’époque et l’endroit où se déroule l’histoire du roman. Dans le résumé de l’histoire d’Abarnou, il écrit : « On assiste aux reconstitutions des assemblées révolutionnaires» (l’époque) «où tout le monde porte un masque et joue un rôle et on atterrit en Islande, dans une brume nordique et mystique.» (lieu) Tandis que M. Constant, quant à lui, parle de «Guillotine révolutionnaire» et «d’Islande contemporaine». Il est donc facile d’en conclure que le titre Temps glaciaires fait référence à l’époque et le lieu de l’histoire.

D’après moi la signification du passage «la dynamite (dynamique) du groupe» qu’a écrit François Constant signifie que la chimie du groupe et les personnages de l’enquête seront mis à l’épreuve tout au long du livre. Dans la critique de Monsieur Thomas Abarnou il fait mention que bien que l’histoire tourne autour d’un meutre, mais que l’auteur fait référence aussi à «la psychologie et les passés troubles de ses personnages». Alors que François Constant lui nous résume que le personnage Adamsberg se sent abandonné. « Son équipe de divise, certains gardent confiance, d’autres le voient fini et marquent déjà un territoire qui pourraient devenir le leur! » C’est selon moi ce que sous-entend M. Constant lorsqu’il qualifie la «dynamite» de groupe.

Je ne pourrais pas dire qu’après la lecture de ces deux critiques du livre que je suis enthousiaste à l’idée de lire ce livre. Au niveau lecture j’ai plus de facilité à lire le fantastique du genre Tolkien. Grand cinéphile, je dois admettre que cette histoire ferait probablement un excellent Thriller d’autant plus que l’histoire se passe dans le merveilleux pays qu’est l’Islande. J’ai par contre plus apprécié la critique de Monsieur Constant la façon dont il résume l’histoire et les épreuves que l’équipe d’enquête auront à surmonté fait que je suis légèrement intrigué par le dénouement de celle-ci. Ce qui me fait reculer par contre sur mon envie de lecture, est lorsque Thomas écrit que « Le roman s’accélère dans les dernières pages avec de sentiment que l’affaire après avoir longtemps stagné,

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