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Physioloie des grandes fonctions

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Par   •  25 Avril 2023  •  Compte rendu  •  2 623 Mots (11 Pages)  •  298 Vues

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PHYSIOLOGIE DES GRANDES FONCTIONS

COMPTE RENDU DE TP

SYSTEME CARDIOVASCULAIRE ET RESPIRATOIRE

SOMMAIRE

  1. INTRODUCTION
  1. Système cardiovasculaire
  2. Système respiratoire

  1. MATERIEL ET METHODE
  1. Mesure de la pression artérielle
  2. Mesure du pouls
  3. Mesure du débit cardiaque
  4. Calcule de VRI
  1. RESULTATS
  1. Tableau des résultats
  1. DISCUSSION
  1. Comparaison
  1. CONCLUSION
  1. INTRODUCTION
  1. Système cardiovasculaire

L’appareil cardiovasculaire assure la circulation du sang pour transporter l’oxygène et les nutriments vers les cellules et en éliminer les déchets permettant le maintien du métabolisme général. Celui-ci se compose d’une pompe à fonctionnement alternatif qui est le cœur, d’un réseau de distribution à haute pression qui sont les artères se terminant par des artérioles, d’un circuit de petits vaisseaux au niveau desquels s’effectuent les échanges, ce sont les capillaires et enfin, d’un circuit de retour à basse pression vers le cœur qui sont les veines.

Le cœur comporte deux pompes propulsives fonctionnant parallèlement : le « cœur gauche » assurant la circulation systémique et le « cœur droit » assurant la circulation pulmonaire. Chacun comporte une oreillette qui collecte le sang et un ventricule qui l’expulse vers l’artère pulmonaire en direction des poumons pour le ventricule droit et vers l’aorte en direction des autres organes pour le ventricule gauche.

La circulation systémique alimente ainsi en parallèle les différents organes par les branches de division de l’aorte. Le sang issu de ces organes est pauvre en oxygène et riche en déchets et est collecté par les veines caves inférieur et supérieur pour être ramené à l’oreillette droite. La vascularisation du myocarde est assurée par les artères coronaires et le sinus coronaire qui se joint directement dans l’oreillette droite. Les poumons reçoivent par l’artère pulmonaire, du sang veineux à faible teneur d’oxygène, mais ils reçoivent en outre du sang artériel par les artères bronchiques constituant la vascularisation systémique pulmonaire qui se drainent dans l’oreillette gauche, mêlant ainsi un peu de sang veineux au sang artériel ramené à l’oreillette gauche par les veines pulmonaires.

  1. Système respiratoire

Le système respiratoire commence au niveau du nez et de la bouche et se poursuit par les voies respiratoires et les poumons. Celui-ci permet de faire des échanges entre l’O2 et le CO2 qui doit être expulsé vers l’extérieur. Ce système se situe au-dessus de la cavité abdominale, de laquelle il est séparé par le diaphragme, au niveau de la cavité thoracique. Le poumon gauche est légèrement plus petit que le droit car il faut une place pour le cœur et les poumons sont rattachés aux voies aériennes supérieures.

L’air pénètre dans le système respiratoire à travers le nez et la bouche, passe par le pharynx et par le larynx.

La trachée est la partie la plus large des voies respiratoires, elle se divise en deux branches plus petites, la bronche droite et la bronche gauche, qui aboutissent à chacun des poumons (le droit et le gauche) et chaque poumon est divisé en lobes.

Les bronches se ramifient de nombreuses fois en voies respiratoires plus petites, jusqu’à former les voies respiratoires les plus fines appelés bronchioles. Des milliers de petits sacs d’air appelé alvéoles se trouvent à l’extrémité de chaque bronchiole et l’intérieur des parois alvéolaires est parcouru par un dense réseau de petits vaisseaux sanguins appelés capillaires. La plèvre permet aux poumons de bouger en douceur lors de la respiration et des mouvements de la personne.

L’objectif de ce TP est d’étudié le système cardiovasculaire et son adaptation à différentes conditions ainsi que le système respiratoire d’individus et les différents volumes respiratoires.

  1. MATERIEL ET METHODE
  1. Mesure de la pression artérielle

En pratique, la pression artérielle se mesure avec un tensiomètre électronique. Cet appareil est composé d’un brassard et un boitier de commande. Pour prendre la pression artérielle il suffit de mettre le brassard au-dessus du pli du coude au bras gauche, ensuite il faut appuyer sur « Marche/Arrêt », le tensiomètre va donc se gonfler jusqu’à atteindre le niveau de pression supérieur à celui de la pression systolique (ce qui fait disparaître le pouls dans le bras) puis il se dégonfle lentement jusqu’à afficher la valeur de la pression artérielle du patient.

La pression artérielle au repos relatif signifie que le patient ne fait pas d’effort physique et qu’il n’a pas de repos total. Ce dernier signifie que la pression artérielle est mesurée après que le patient a été allonger pendant 10 minutes. Durant ce temps les muscles sont relâchés ce qui signifie un environnement peu, voire non stressant. Il s’agit donc d’un repos total. Contrairement à la mesure de la pression après un effort, celui-ci est mesuré lorsque qu’il y a eu une activité physique comme faire du vélo pendant 10 minutes, dans ce cas les muscles consomment du dioxygène et du glucose (énergie). Ils sont également en tension et vont sécréter de l’acide lactique, la pression artérielle est donc plus élevée.

2.        Mesure du pouls

Le pouls est dû à la différence entre la pression systolique et la pression diastolique ce qui correspond au rythme cardiaque, c’est-à-dire aux nombres de battement du cœur à la minute. Au repos, le pouls normal d’une personne est de 60 à 75 battements par minute. Pour effectuer la mesure du pouls on utilise de la même façon un tensiomètre électrique.

3.        Débit cardiaque

Le débit cardiaque est la quantité de sang pulsée par chaque ventricule par minute. Celui-ci permet d’obtenir des informations utiles sur le flux sanguin et il s’exprime en millilitres par minutes ce qui correspond donc au produit de la valeur de la fréquence cardiaque par celle du volume de sang éjecté par un ventricule à chaque battement. Pour mesurer le débit cardiaque on utilise toujours un tensiomètre électrique comme décrit précédemment.

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