Synthèse sur le voyage BTS NDRC
Dissertation : Synthèse sur le voyage BTS NDRC. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar eve.ulrichperez • 9 Octobre 2023 • Dissertation • 856 Mots (4 Pages) • 266 Vues
Eve ULRICH PEREZ
BTS NDRC 2A
26/10/22
SYNTHESE SUR LE VOYAGE
Introduction :
Depuis la nuit des temps les voyages ont un centre d’intérêt important pour l’Homme. Les Voyages n’ont cessé de se développer. Un voyage n’est jamais dépourvu de but, en effet l’homme recherche toujours une finalité.
Qu’entendons-nous dans fuir à travers le voyage ? Est-il le signe d’une liberté réalisée ?
Nous allons confronter dans la synthèse 4 documents :
Le premier document « Ma Bohème » d’Arthur RIMBAUD, est une poésie sur l’errance d’un poète en révolte. Rimbaud fuit le milieu familial et conformiste pour une vie libre comme un bohême.
Le second document « Chemin faisant » de Jacques LACARRIERE, 1974, est un texte sur l’errance d’un homme à a recherche d’un mode de vie nomade.
Le troisième document « Vagabondages » d’Isabelle EBERHARDT, 1988, est un texte sur la liberté de vagabonder.
Enfin le quatrième document « Où pourriez-vous m’emmener ? » de Sophie CALLE est une photographie sur le départ vers l’aventure.
Développement :
Tout d’abord nous allons nous concentrer sur l’errance du Voyage comme un moyen de fuir son quotidien, fuir ses responsabilités ou pas. De son côté, dans « Ma Bohème », Arthur RIMBAUD Le poète cherche à fuir le milieu familial et conformiste. Lorsqu’il dit « Je m’en allais les poings dans mes poches », Arthur RIMBAUD part, à travers la nature, à la recherche d’espace et de liberté avec « les poings » qui montre qu’il fuit comme un Rebel en colère. D’ailleurs Isabelle EBERHARDT, dans son texte « Vagabondage », est elle aussi une rebelle dans l’âme. Elle met en avant son but d’utiliser son voyage pour être libre de ses actes en traversant sa nature qui est pour elle le désert. Comme Arthur RIMBAUD a pu traverser sa propre nature. De son côté Jacques LACARRIERE dans son texte « Chemin faisant » met en avant l’errance avec une succession de mots comme « voyageur », « vagabonds », « marchands », colporteurs », « Nomade et Sédentaire ». Autant de mots pour qualifier l’errance du voyage, mais contrairement à Arthur RIMBAUD et Isabelle EBERHARDT, Jacques LACARRIERE pense qu’il n’y pas de réel but dans un voyage. Pour lui il n’y a aucun but dans le voyage sinon de perdre son temps le plus féeriquement possible. Se vider, se dénuder et, une fois vide et nu, s'emplir de saveurs et de savoirs nouveaux. Les Ligne 13 à 20 de son texte « Chemin faisant » démontre bien son point de vue avec : « L’histoire … très complexes entretenus entre les sédentaires et les nomades … l’Errant apportait avec lui les besoins des différentes communautés… ». Ici le voyageur ou vagabond traverse la nature pour transmettre ce qu’il a vécu ou croisé. Pour indiquer comme le fait Sophie CALLE avec le panneau d’autoroute qui donne une information qu’on peut utiliser pour imaginer ici « un départ », donc une information réelle ou imaginaire.
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