Le rapport des partis politiques à la professionnalisation
Cours : Le rapport des partis politiques à la professionnalisation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar stephdevil • 13 Mai 2023 • Cours • 265 Mots (2 Pages) • 369 Vues
Le rapport des partis politique à la professionnalisation
gauche ouvriériste
bibliothèques etc. C’est
Cette critique est Les partis de
Les partis politiques ont toujours été critique à cette professionnalisation.
différente selon qu’on a à faire des élus de gauches ou de droite.
Les partis de gauche
reprochent que les compétences attendues des élus (s’avoir s’exprimer en public, organiser
des réunions, etc.) sont proches des dispositions sociales de la bourgeoisie.
dénoncent la professionnalisation car les PDLP se mettent à devenir eux
mêmes des bourgeois
.
Pour autant, les partis de gauche ne renoncent pas à la
professionnalisation en formant eux-mêmes leurs élus, ils organisent des cours, crée des
une nécessité pour les partis socialiste de former leurs élus car sur le
terrain de campagne ils font l’objet de dénigrement (notamment par le patronat via la presse
d’opinion)
. Les grands PS, bien que révolutionnaire, ont grandement aidé à la professionnalisation de la politique. Il y a
Ce phénomène s’observe dès le début du 20e
siècle.
(via le prélèvement de l’indemnisation des élus) et la droite à très Cela s’explique par la
également un enjeu financier car les grands PS
prélève une partie de l’indemnité de leurs élus.
La droite conservatrice est également opposée à la professionnalisation de la politique
car elle nourrit les partis politiques
longtemps été réticente à ce type d’organisation.
critèreprincipal pourêtreélurestelapositionsocialecommeavant1848
les notables. La droite aurait préféré que le
la droite assimile la
professionnalisation à la corruption et au clientélisme. Le clientélisme désigne les liens
composition sociale des élites de la droite :
professionnalisation place l’argent sur un piédestal dans la vie politique,
, de plus, comme la
institués entre représentants politique sou chefs de partis et diverses catégories de
population (« clients » : groupes d’électeurs, associations, journalistes.) susceptibles de contribuer à leur succès électoral.
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