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La Statue De La Liberté

Dissertation : La Statue De La Liberté. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  11 Mars 2015  •  1 740 Mots (7 Pages)  •  1 239 Vues

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HISTOIRE DES ARTS

Thématique « Arts, états et pouvoir »

LA STATUE DE LIBERTE à New York : Correction partielle

1) Présentation de l’oeuvre, de l’artiste

Titre de l’oeuvre , son autre nom, matière utilisée, emplacement de l’oeuvre, date de fabrication, dimensions et masse. Nom de l’artiste, nationalité de l’artiste

2) Le contexte historique

Le sculpteur : Age de l’auteur à l’époque, bibliographie courte, autres oeuvres de l’artiste montrant son engagement).

L’ingénieur : Age de l’auteur à l’époque, bibliographie courte, autres oeuvres de l’artiste montrant son engagement).

L’oeuvre : pourquoi a-t-elle réalisée ? pourquoi cet endroit ?

La statue a été offerte par la France en 1886 à l’occasion du centenaire de la déclaration d’indépendance américaine (en 1876) et en signe d’amitié entre les deux nations. (Elle a été officiellement offerte aux Etats-Unis à Paris le 4 juillet 1884 puis démontée et envoyée à New York par bateau).

La statue a été posée sur l’île de Liberty Island à l’entrée du port de New-York. Dans l’esprit de Bartholdi, cette statue devait être tournée vers son continent d'origine, l'Europe dont elle accueillait et allait continuer d'accueillir les immigrants. Ce n'est qu'en 1956 que le Congrès décida du changement du nom de l'île en Liberty Island, c'est-à-dire « île de la liberté »1.

3) .Description / Analyse

Le genre de l’oeuvre : portrait, paysage, scène religieuse, ….

Le sujet : qu’est-ce qui est représenté ? que peut-on voir ? description sommaire de la statue

Composition : quelles sont les lignes dominantes, comment est vue l’oeuvre, les couleurs, la sculpture repose-t-elle sur un socle, qu’elle est la relation de la sculpture avec son environnement

La statue représente une femme en station verticale, vêtue d'une robe ample et coiffée d'une couronne comportant sept pointes, symbolisant les « Sept Continents » (Amérique du Nord, Amérique du Sud, Europe, Asie, Afrique, Océanie et Antarctique). Cependant, les sept pointes pourraient également évoquer les sept océans (Arctique, Antarctique, Atlantique nord et sud, Pacifique nord et sud et Indien). Le diadème fait aussi penser à celui que portait le dieu du soleil Hélios. Les vingt-cinq fenêtres de la couronne symbolisent quant à elles vingt-cinq pierres gemmes trouvées sur la terre et les rayons du ciel qui brillent sur le monde.

1 Au cours de la deuxième moitié du 19e siècle, la population des États-Unis a presque doublé en 30 ans. Cette croissance prodigieuse est principalement due à l'immigration qui a atteint un niveau sans précédent à l'époque. Entre 1840 et 1880, 9.438.000 étrangers ont débarqué aux États-Unis, parmi lesquels, outre les Britanniques, les Allemands étaient, irlandais et scandinaves. Entre 1880 et 1914, le nombre d'immigrants a atteint 22.000.000, provenant principalement d'Europe méridionale et orientale. C’est dans ce contexte que la commande a été faite pour la Statue de la Liberté.

L’oeuvre frappe justement par la sévérité du visage, presque désincarné, surplombé de sa couronne en pointe. Le débat a porté à l’époque sur le visage choisi par l’artiste comme modèle : une femme de sa connaissance, sa propre mère, Bartholdi a laissé planer le doute.

La statue tient dans sa main gauche une tablette, qu'elle garde près de son corps, alors que sa main droite brandit une torche enflammée (qui est recouverte de feuillets d'or), maintenue en hauteur symbole de liberté et de la lumière éclairant les hommes La tablette évoque la loi ou le droit. La tablette tenue dans la main gauche est gravée de la date d'indépendance des États-Unis, écrite en chiffres romains : JULY IV MDCCLXXVI 4 juillet 1776 et correspond au triomphe du droit.

Les drapés superposés et la torche tenue à bout de bras représentent eux un véritable défi technique – qui, autant que le retard du financement, expliquent que la Statue ne fut finalement inaugurée que le 28 octobre 1886

Au pied de la structure se trouvent des chaînes brisées qui symbolisent la fin de la tyrannie, la liberté, l’abolition de l’esclavage dont la pratique a lié négociants et agriculteurs des deux nations durant deux siècles.

La structure repose sur un premier socle de forme carrée, lui-même posé sur un autre socle en forme d'étoile irrégulière à onze pointes. Sur sa base, une plaque de bronze porte, gravée, une partie (la fin) du poème de la poétesse américaine Emma Lazarus, intitulé « The New Colossus » (« le nouveau colosse »). La plaque de bronze n'est pas d'origine, elle a été ajoutée en 1903.

Au coeur du bloc qui compose le socle, deux séries de poutres rattachent directement la base à la structure interne imaginée par Gustave Eiffel de façon que la statue ne fasse qu'un avec son piédestal. Sous sa robe de cuivre,

on découvre une ossature de fer : elle n'est autre qu'une sorte de mini-tour Eiffel surplombée par une autre, plus petite, dans le bras. En outre, la pierre de parement du socle de la statue de la Liberté provient des carrières d'un petit village de France, Euville dans la Meuse, réputé pour la blancheur de sa pierre, dite « d'Euville » et pour ses qualités de faible érosion à l'eau de mer. Quant à la pierre de l’âme du socle, celle-ci viendrait également de diverses carrières du département de la Charente et fut exporté par voie fluviale.

La statue est tournée vers l'est, c'est-à-dire

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