Le droit des animaux par Yenne D

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Philosophie commentaire

C'est un extrait des principes de la morale et de la législation, un œuvre de Jérémie Bentham écrite en 1789. L'auteur était un philosophe, avocat et réformateur britannique. Il est un philosophe juridique et un militant dont les idées ont grandement influencé le développement de la cohérence et est reconnu comme le père de l'utilitarisme.

Dans un premier temps nous allons expliquer et développer différentes citations du texte proposer, présenter l'idée.

« Les droits que seul une main tyrannique a pu leur »

Mon explication de cette citation est la suivante : le droit qui est un ensemble des règles qui régissent les rapports des membres d'une même société ; légalité. C’est une science qui a pour objet l'étude de ces règles. C’est également une faculté, légalement ou réglementairement reconnue à quelqu'un par une autorité publique, d'agir de telle ou telle façon, de jouir de tel ou tel avantage possibilité morale qu'on a d'agir de telle ou telle manière. C’est la possibilité, permission donnée à quelqu'un, par une autorité quelconque, de faire quelque chose ; autorisé. Dans cette citation ont parlé du droit des animaux biens que les privilèges du droit sont plus favorables aux Hommes. La main tyrannique représente celle de l’Homme, une main d’oppression. Et que si un jour les animaux avaient des droits ce seraient déjà les hommes qui les auront arrachés, le tyran enlever tous privilèges.

« Les français ont déjà découvert que la noirceur de la peau n’était pas une raison pour abandonner un homme au caprice de ces persécuteurs »

Cette citation a pour but de débité des récits de fait historique qui font références à l’abolition de l’esclavage envers les personnes de couleurs, à la couleur de peaux noir. Il sert d’exemple et de démontrer que maintenant ce sont les animaux qui sont esclave et abandonner aux mains des persécuteurs.

Cette théorie par exemple a pour but de renforcé les arguments de l’idée véhiculé.

Pourquoi les animaux seront inférieurs aux hommes

« Sont des raisons tout aussi insuffisantes d’abandonner un être sentant à ce même sort »

Celui-ci démontre que ce n’est pas parce qu’ils sont différents de l’homme par leur nombre de pattes, la race (reptiles…), leur taille, leur pilosité… qu’on devrait faire ce que l’on veut d’eux dans le même cas que l’esclavage étant donné leur différence de couleur, de la culture n’était pas une raison pour les maltraités et les abandonnés dans les deux cas ils ressente de la douleur.

« La question n’est pas : « peuvent-ils raisonner ? » ni « peuvent-ils parler ? », mais « peuvent-ils souffrir ? »

A l'aide de cette phrase, l'auteur pose une question rhétorique sur les droits des animaux par rapport au raisonnement et au réflexion qui devrait exister sur les droits des animaux.

Selon lui cette réflexion ne devrait pas être basé sur le fait que les animaux n’ont pas la capacité de communiqué avec l’Homme par la parole, ne raisonne pas de la même manière que l’être humain mais il s’agit de leur capacité à ressentir des sentiments, de la douleur, à avoir des émotions, des états d’âmes (tristesse, rages…), de souffrir donc d’éprouver des souffrances morales ou physique, être particulièrement affecté par des difficultés, des peines, être malheureux

Il existe plusieurs manières pour les animaux de communiquer (les gestes, les expressions du visage et par le son) donc là n’est pas la question.

Nous pouvons comprendre avec ces différentes citations que l’idée principales véhiculé dans  cet extrait est le droit des animaux car on peut distinguer 5 parties dans l’argumentation de ce texte :  présentation de la thèse ( sa pensée) ; accusation des tirants ; exposition des faits et actes historique relatif à la thèse ; affirmation d’une défaillance au sens des normes ; mise en valeur d’une remise en question sur la redéfinition des droits.

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