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Moustiques dans le métro à Londres

Cours : Moustiques dans le métro à Londres. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  12 Décembre 2021  •  Cours  •  454 Mots (2 Pages)  •  1 066 Vues

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GARESSUS Tom

LAURENT Carla

2°1

Les moustiques du métro de Londres

Les espèces de moustiques du métro de Londres et de surface forment deux espèces distincte, à l’origine, une seule espèce occupait la ville de Londres : le Culex Pipiens se nourissait essentiellemnt de sang d’oiseau. Au cours des traveaux de réalisation des voies du metro, quelques moustiques se sont introduits et se sont développés jusqu’à devenir une seule espèce particulière : le Culex Molestus. Ces deux moustiques ont maintenant des caractéristiques différentes car ils n’ont pas évolué ensemble du fait de la séparation géographique (une espèce sous terre l’autre en exterieur). Le Culex Molestsu pique en particulier des mammifères (même les oiseaux). Les différences entre les deux espèces sont si grandes que la reproduction entre eux ne sont plus possibles.

La fréquence allelique est la fréquence à laquelle se trouve l’allèle d’un variant dans une population. Les fréquences alléliques représentent la diversité génétique au niveau de la population ou de l’espace.

La diversité génétique a un rôle très précis. En effet, c’est le hasard qui joue ce rôle : il peut transmettre ou non un caractère entre un géniteur et une descendance, isoler une population voire même déclancher la mort d’un porteur du bien d’une mutation. La d »rive génétique est donc causée par des évènements aléatoires et imprévisibles comme le hasard de la rencontre spermatozoïdes/ovules dans le cas d’une reproduction sexuée. Selon nous, cette dérive a pu intervenir lors du trajet en métro. L’expression « selection naturelle » designe un ensemble de phénomènes qui induisent chez les organismes vivants des différences dans le succès reproductif selon les caractères portés par ces organismes. Ces mécanismes selectionnent au fil des génerations certains certains caractères plutôt que d’autres. La variabilité génétique et la séléction naturelle permettent l’évolution, les changements graduels des organismes vivants au fil des générations et l’adaptation au milieu environnant.

Pour conclure, on peut dire qu’une partie de la population initiale (les Culex Pipiens) a été isolée dans le passage souterrain du métro. Lorsque la population conquiert un nouveau territoire, celui ci est conquis par les pionniers. Il est peu probables que ces derniers aient tous les mêmes allèles de la population d’origine ce qui entraîne une fréquence d’allèles différente de la population. Cette partie de population est petite : la dérive génétique sera donc indiquée. Les conditions de l’environnement souterrain sont différentes des conditions de surface : un changement de pression s’effectue. Par consequent, dans le nouvel environnement, les allèles de gènes qui favorisent la survie à la surfacepeuvent devenir désavantageuses. Dans ces deux caractères, l’effet de la selection naturelle est différent. Les deux phénomènes agissent sur l’évolution des fréquences alléliques des deux populations en même temps : l’accumulation de différences peut conduire à l’emergence de nouvelles gènes.

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