Le brassage génétique résultant de la méiose

Le brassage génétique résultant de la méiose

À la fin de la meilleure chaque cellule produit reçois un seul des deux allèles de chaque père avec une probabilité équivalente. Pour deux paires d’allèles (soit 2 gênes) quatre combinaisons d’allèles sont possibles. C’est combinaisons sont :

• équiprobables si les deux jeunes sont situés sur deux chromosomes différents gènes interdépendants.
• Non équiprobables si les deux gènes sont situés sur le même chromosome = gènes liés

C’est combinaisons d’allèles sont rendue possible du brassage alléliques intervenant lors de la formation des gamètes : brassage interchromosomique quand les gènes sont indépendants // brassage intrachromosomique quand les gènes sont liés.

1. Brassage interchromosomique

Lors de l’anaphase de première division de méiose les chromosomes homologues de chaque paire se sépare de façon indépendante, ce qui assure une répartition aléatoire des chromosomes d’origine maternelle et paternelle de chaque paire dans les cellules issues de cette première division. On dit qu’il y a brassage interchromosomique. À l’issue de la méiose on obtient des gamètes haploïdes présentant des combinaisons alléliques différents en proportion équiprobables. Ce brassage interchromosomique est d’autant + important que le nombre de chromosomes est grand. La méiose peut produire  chromosomes. (Métaphase 2e division : part et d’autres plan équatoriale + chromosomes semblent être à 1 chromatide déjà séparé) [pic 1]

1. Le brassage intrachromosomique

Lors de la prophase de première division de méiose au moment de l’appariement des chromosomes homologues les chromosomes sont enchevêtrées. Les chromatides homologues des chromosomes entre en contact en certains points appeler chiasma des échanges réciproques et non systématique de fragments de chromatides se produisent entre chromosomes homologues d’une même paire le processus est appelée Crossing over. Avec les crossing-over, ce sont les associations d’Hélène à l’intérieur des chromosomes qui sont affectés. Au niveau de ses chromosomes on trouve associé des allèles d’origine maternel et paternel. Les crossing-over participe donc à un brassage intrachromosomique

(doc c p.28).

Les proportions ne sont pas équiprobables car le crossing-over à l’origine des gamètes recombiner n’est pas systématique et n’a pas forcément lieu entre les gènes étudiés.

Le nombre de combinaisons possibles dans les gamètes est d’autant plus élevé que le nombre de gênes à l’état hétérozygotes est + grand chez les parents.

--Pour que le brassage train de la diversité il faut des allèles différents.

Les brassage Inter et Intrachromosomique se combine une diversité plus ou moins de gamètes est ainsi produit. La diversité génétique potentiel des zygote (cellule œuf) est immense du fait de la diversité des gamètes mâles et femelles qui se rencontrent au hasard lors de la fécondation. Chaque zygote contient une combinaison unique et nouvelle d’allèles. La fécondation amplifient donc le double brassage génétique assurée par la méiose.

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