Fécondation le cycle de l'ovaire
Cours : Fécondation le cycle de l'ovaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar siana11 • 24 Septembre 2015 • Cours • 562 Mots (3 Pages) • 1 087 Vues
II. fécondation.
Le cycle de l’ovaire
Un follicule ovarien = ovocyte + cellules somatiques dites cellules folliculaires.
Phase folliculaire :
Quelques follicules ont réalisé la phase de croissance mais un seul, qualifié de dominant, va terminer le cycle. Les cellule folliculaires s’y multiplient activement et la cavité folliculaire se creuse.
Au stage follicule mûr ou de Graaf. Le follicule dominant est prêt à expulser son ovocyte.
L’ovulation :
Le follicule se rompt et libère un ovocyte associé à quelques cellules folliculaires.
La phase lutéale :
Le follicule rompu cicatrise et se transforme en corps jaune (par multiplication des cellules de la granulosa et de la thèque interne). Ce corps jaune régressera en fin de cycle s’il n’y a pas de fécondation. Par contre, si une grossesse débute, il se maintiendra.
Conclusion :
Les deux cycles sont parfaitement synchronisés et de même durée. Et en cas de fécondation, l’endometre est prêt à acceuillir l’embrillon pour la nidation.
3. Hormones ovariennes et cycle de l’utérus
a) Origine des H ovariens
En phase folliculaire, les eostrogènes sont fabriquées par les follicules en croissances.
Un pic d’eostradiole a lieu juste avant l’ovulation.
En phase lutéale, le corps jaune fabrique les œstrogène et la progestérone. La chute de leur taux en fin de cycle s’explique par la régréssion du corps jaune.
Conclusion :
L’évolution cyclique des follicules ovariens entraine la sécrésion cyclique des Oestrogènes de la progestérone.
b) Fonctions des H ovariens au niveau de l’utérus
L’oestradiole prépare la femme à une fécondation.
La progestérone prépare la femme à une nidation.
En fin de cycle menstruel : la chute des sécrésions des Oestrogènes et de progestérone, par le corps jaune qui régresse, explique le délabrement de la muqueuse et les régles.
Conclusion :
C’est parce que l’utérus est un organe cibles des H ovariennes qu’il évolue de manière cyclique et synchronisée avec l’ovaire afin de créer les conditions optimales pour la nidation.
4. Hormones ovariennes et comportement sexuel
Réceptivité de la rate
Chez les mamifères non-primates, l’acceptation de l’accouplement par la femelle est déterminé par le pic d’œstrogènes.
On appelle oestrus (ou chaleur ou rut) la période ou la femelle est receptive. Elle correspond au pic d’oestrogènes et bien sur à l’ovulation. On parle de cycle oestrien au lie de cycle menstruel car les menstruations n’existent pas.
Chez les
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