Le multiculturalisme en France

Le terme multiculturalisme en France a toujours été perçu comme une menace régressive d’éclatement des sociétés démocratique moderne qui sont fondés sur la volonté des citoyens de vivre ensemble. Ce terme est polysémique il peut être d’abord employés pour designer un aspect de la réalité sociologique contemporaine (la pluralité culturelle) il peut aussi représenter une conception philosophique du monde enfin il évoque un ensemble de politique publique mise en œuvre afin de gérer la diversités culturel cette notion de div culturel a été très peu prise en compte de la part de la sociologie. Les auteurs on fait glisser ce terme dans l’Etat nation. Ulrich Beck appelle théorie de la société réceptacle autrement dit les sociétés dites national sont fondés sur un contrôle étatique de l’espace. L’homogénéité interne des société et essentiellement une création de ce contrôle étatique par conséquent les pratiques sociales de toutes sortes sont standardisés par l’état nation qui les étiquettes comme économie « national », langue « national » , littérature , vie publique et histoire « national » etc…

Autrement dit l’état fait du territoire qu’il contrôle un réceptacle à l’intérieur duquel toute les statistiques économiques et sociales sont systématiquement collectés

Axelle Honneth : les luttes de minorités qui peuvent être sociales (des luttes syndical) du 19 -ème siècle en Angleterre) des minorités ethnique (noirs américains ou des porto ricains) ou lutte des minorités sexuelle). Ces minorités ne lutte pas pour obtenir une part de capital réel mais plutôt pour obtenir une part du capital symbolique c’est-à-dire ‘un capital qui n’existe que dans et part l’estime, la reconnaissance, la croyance, le crédit, la confiance des autres et qui ne peut se perpétuer qu’aussi longtemps qu’il parvient à obtenir la croyance en sont existence ». Une minorité n’est pas une notion quantitative en effet une minorité est parfois numériquement plus importante que la majorité. Les femmes sont plus que les hommes néanmoins elle constitue aujourd’hui une minorité en effet on définit comme une minorité un ensemble formés par toutes celle et ceux qui sont tenus pour mineur c’est-à-dire considérer comme incapable de se servir de leurs propres entendements sans être dirigés par un autre. Autrement dit a ce groupe on ne reconnait pas la maitrise d’eux même et donc ils n’ont pas de ce fait une identité propre. L’identité qu’il reçoivent leurs est conférer par ceux qui sont majeurs (culture colonisatrice). De la même façon une majorité n’est pas non plus une notion quantitative c’est un modelé dominant celui auquel le reste de groupe doit se conformer. S’ils refusent de se définir par le modèle de la majorité ils ne peuvent que chercher a en crée un autre. Le refus de la majorité d’accorder à la minorités la possibilité de se donner a elle-même sa propre identité la pousse dans une lutte pour en constituer une nouvelle on parle alors de ce cas d’une lutte pour la reconnaissance. Enfin l’observation et l’analyse de quelques mouvement sociaux ont donc permit de mettre jour d’une part l’existence d’un lien d’une situation de domination et l’absence de reconnaissance et de l’autre part une qualité des rapport sociaux n’est pas mesurables avec la répartition juste ou injuste des biens matérielles.

Avant la fin des années des années 70 les pression de travail précaires ou de précarités de l’emploie était rarement utilisés aujourd’hui cette expression est utilisés notamment dans le cas du travail temporaire dans un ouvrage qui s’intitule « précarités « Patrick Cingolani insiste sur le fait que « l’employeur tente d’acheter la capacités de travail de certains salariés en dehors des règles » ces dont a partir de cette oppositions entre les salariés officiel et ce qui sont dans une situation de dérégulation qu’on établit une idée de salarier vrai ou faux salariés en effet les personnes confronter aux travail précaire n’ont pas la sécurités d’emploi et ont généralement des salaires inferieur une protection sociale limités et peut de prestations liés a l’emploie voir aucune. Les travailleurs précaires font face a d’autres difficultés pour exercer leur droit par ailleurs le taux de blessure et supérieur pour les travailleurs précaires souvent par l’absence de la formation sur le terrain qui est dispensés aux salariés permanant.

Les préjudices inconscients ; de nombreux sociologues expliquent qu’on voit venir aujourd’hui sur devant de la scènes sociales les figures couples de la précarité et du préjudice. La précarité désigne l’états de ses sujets qui manquent de presque tout qui sont dans un état incertain, in assures sans bases fermes. Par ailleurs le terme précarité d’un point de vue juridique est synonyme de révocation. En revanche lorsque on parle de préjudices celui-ci désigne le fait d’être désavantage d’être prive de quelque droit auxquelles le sujet peut légitiment prétendre et ce préjudice peut être physique et ou morales.

Uberisation : Il s’agit d’une expression récente sans processus en revanche à commencer dès l’apparition d’internet. Aujourd’hui nous somme de plus en plus face a une croissance du développement du free-lance et nous somme face à la monter en puissance du secteur collaboratif ce qui caractérise cette ubérisation. Pour certains cette notion annoncerait « la mort du salariat » mais elle annoncerait une façon différente de vivre sans l’activité professionnel. En même temps ses débats mettent en avant le dynamisme de l’innovation dans le numérique et il suggère de nouveau gisement de croissance porté par les plateformes. Le processus d’uberisation est à l’œuvre dans de nombreux secteur de l’économie.

Ce modèle qui offre plus de liberté a tous les partis à en réalité contribuer aussi à la création d’une nouvelle forme de précarité. Par leurs

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