L'impacte de la crise sanitaire sur le chomage dans le monde

En 2019, plus précisément le 16 novembre, soit presque il y a plus de 2 ans est arrivée un virus qui a complètement chamboule nos vie, c' est le covid 19. Ce virus est apparu a Wuhan dans la province de Hubei en chine, avant de se propager dans le monde entier. Cette épidémie deviendra une pandémie officiellement le 11 mars 2020 et forcera l' OMS a prononcé l' état d' urgence de santé publique de portée internationale le 30 janvier 2020. Afin de freiner sa propagation, la majorité des états dans le monde vont mettre en place des mesures sanitaires comme le port du masque, des confinements etc... Ces restriction ne vont pas seulement impacter notre quotidien mais va aussi profondément impacter le marche du travail, notamment le chômage.

A cause de ses mesure en janvier 2021Au niveau mondial, le chômage a augmenté de 33 millions en 2020, le taux de chômage enregistrant une hausse de 1,1 %, à 6,5 %. atteignant 220 millions en 2020,. la crise du COVID-19 touche le marché du travail dans sa globalité, ce qui conduit à des pertes d’emplois plus fortes et à une forte hausse du chômage un peu partout, y compris au sein des économies intermédiaires inférieures qui n’avaient pas été touchées aussi gravement pendant la crise financière mondiale de 2009. Dans les pays à revenu élevé, l’augmentation du taux de chômage entre 2019 et 2020 (2 %) est très semblable à celle enregistrée entre 2008 et 2009 (2,1 %).

En janvier 2021, 93 % des travailleurs à travers le monde habitent dans des pays dans lesquels la fermeture des lieux de travail persiste sous une forme ou sous une autre. Au sein de ces pays, les mesures visant plus particulièrement des régions ou des secteurs spécifiques sont petit à petit devenues la norme au fil de la pandémie.

le marché du travail en 2020 a connu des perturbations à un degré jamais vu dans l’Histoire. En 2020, 8,8 % des heures de travail au niveau mondial ont été perdues en comparaison avec 2019, ce qui équivaut à 255 millions d’emplois à temps plein . Les pertes en heures travaille ont été particulièrement importantes en Amérique latine et dans les Caraïbes, en Europe du Sud et en Asie du Sud. Ses pertes on même été environ quatre fois plus importantes que pendant la crise financière mondiale de 2009.

Contrairement aux crises précédentes, la grande majorité des pertes d’emplois en 2020 se sont traduites non pas seulement par une hausse du chomage mais aussi de l' inactivité . 81 millions de personnes supplémentaires devenant inactives et 33 millions de personnes supplémentaires tombant au chômage. En conséquence, le taux d’activité global a baissé de 2,2 %en raison de la crise du COVID-19, contre seulement 0,2 % entre 2008 et 2009 suite à la crise financière mondiale. Il n’y a que dans les pays à revenu élevé que le chômage augmente plus fortement que l’inactivité comme aux Etats Unis. En 2020, les Etats-Unis représentaient 63 pour cent des chômeurs additionnels au sein des pays à revenu élevé.Les chiffres du chômage ne reflètent qu’une faible proportion des emplois perdus pendant la crise du COVID-19. En effet, de nombreuses personnes qui auraient voulu avoir un emploi sont devenues inactives parce qu’elles estiment qu’elles n’ont aucune chance de trouver un travail. Les deux facteurs principaux qui ont contribué à ce phénomène sont les suivants : dans les pays à revenu élevé d’Europe, l’utilisation massive des mesures de chômage partiel qui ont conduit à limiter l’augmentation du chômage; et ce qui semble être une forte incitation aux Etats-Unis de trouver un emploi même pendant une pandémie.

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