Texte David Hume

Nous sommes en présence d’un texte de David Hume qui est paru en 1991 et qui se nomme « Enquête sur les principes de la morale ». Ici l’écrivain se pose des questions sur l’origine de la conscience morale, il analyse les différents types de comportements humains et ce qui les motives à agir de la sorte.

Dans un premier temps nous verrons comment David Hume exprime son opinion tout au long du texte, puis dans un second temps nous verrons en quoi le titre de cette oeuvre peux soulever des questions importantes.

David hume est un empiriste, tout est basé sur l’expérience, il étudie la causalité, c’est à dire la notion de cause à effet, il s’oppose aux dogmatiques, qui sont des personnes qui expliquent tout par la raison. David Hume quant à lui pose comme principe que tout ne s’explique pas par la seule raison. Pour lui on ne peut pas tout rationaliser.

Il commence ce texte par rejeter des choses en prenant positions

« Les fins ultimes des actions humaines » ont pour fondement l’expérience sensible ( sentiment et affection ).

Il utilise de nombreux adverbes de rejets pour montrer sont oppositions aux dogmatiques tel que « Jamais » ou encore « En aucun cas ».

Hume commence l'Enquête par le constat suivant : il existe des distinctions morales. De fait, nous sommes touchés « par les images du bien et du mal » .Certes, ces images ne nous touchent pas tous de la même manière et avec la même intensité, certains y sont plus sensibles que d'autres, puisque nous sommes par nature différents ; mais «si grande que puisse être l'insensibilité d'un homme » il ne peut être totalement indifférent aux exemples de vertu et de vice qu'il rencontre. Ce constat formulé par Hume est un constat d'expérience, fondé a posteriori, et qui a la valeur d'une évidence, au point que d'après lui, ceux qui ont nié la réalité des distinctions morales que nous faisons spontanément entre les exemples du bien et ceux du mal ne sont pas sincères, parce qu’ « il n'est pas concevable qu'un être humain puisse jamais croire sérieusement que tous les caractères et tous les actes ont un droit égal à l'assentiment et à la considération de chacun ». Ceux qui sont visé ici sont tout autant les sceptiques, et notamment Sextus Empiricus qui pose l'absence de distinction entre le bien et le mal à l'état de nature.

Dans la seconde partie de son texte David Hume fait une énumération des raisons pour laquelle un homme désire la santé, ainsi il enchaine sur de nouveaux sujets et met en avant le fait que l’homme par la santé a bien d’autres but. Dans cette deuxième partie Hume semble plutôt confirmer sa thèse.

Il met dans la suite du texte a l’épreuve sa propre théorie, il exhorte le lecteur a mener leur propre enquête, il nous demande d’en faire l’expérience

David enquête sur ce qui nous pousse nous même à enquêter, il démarre son enquête avec des « Si »et sons avec des hypothèses, il interroge notre corde sensible

Il exprime ensuite une thèse, pourquoi veut on une bonne santé, car on veut vivre

Dans le deuxième paragraphe il pousse l’expérience

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