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Philosophie la morale

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Par   •  10 Avril 2021  •  Commentaire de texte  •  485 Mots (2 Pages)  •  616 Vues

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1) Les valeurs peuvent être décrite de deux manières intrasèque et extrasèque, intrasèque qui signifie que quelques chose possède une valeur par exemple le plaisir, la liberté. En revanche selon les nihihilistes rien n’a de valeur intrasèque car la vie est éphémère du point de vue de l’univers. La valeur extrasèque d’une chose c’est sa valeur instrumentale, connectés à nos désirs. La norme est quelques chose de concret (inscrit dans la loi) ou d’abstrait (norme social) qui doit être respecter, la norme morale est un devoir. Les subjectivistes soutiennent que les jugements moraux issu de nos valeurs n’existent pas ils résultent uniquement de nos émotions par exemple dire que le viol est « immoral » traduit juste le dégoût que l’individu a pour ce genre d’actes. On peux considérer que les normes et les valeurs sont uniquement construite et que par conséquent elle n’existe pas réellement. Par exemple les normes sociales de genre sont construite comme l’explique Judith Butler pour parler des secteurs de travail où les femmes sont plus présente. Elle s’explique en disant que « une structure social va attribuer un rôle social à une femme »

2) Selon Nietzsche la culpabilité à été instaurer par l’homme lui même. La culpabilité est différente de la honte car la honte provient directement du regard d’autrui tandis que la culpabilité vient de soit, on se l’inflige. C’est les hommes de la religion chrétienne (prêtres) qui à travers un long processus historique aurait encrer la culpabilité dans nos sociétés actuel (malgré le fait que la religion n’y est plus une si grande place). Cette explication de Nietzsche est plausible car le fondement de la religion chrétienne est basé sur l’idéal ascétique qui a pour but, la pauvreté, l’humilité et la chasteté donc la négation de ses désirs et de soi. Cet idéal ascétique a transformer la mauvaise foi en culpabilité. On deviens notre propre coupable, l’homme se dit qu’il souffre car il le mérite.

3) Selon Nietzsche la morale des esclaves est celle de l’humilité, l’altruisme, qui ont été construite et inventé pas les « faibles ». Nietzsche explique que les hommes sont divisé en deux catégories, les esclave et les maitres, les esclaves qui aujourd’hui ont mis en place une morale basé sur l’idéal ascétique et domine. Les maîtres eux appelé « homme du type supérieur », sont ambitieux, sur de leur propre valeur, robuste. Mais Nietzsche ne condamne par pour autant les esclaves, il estime quand même que leur morale et la société créé autour est nocive pour l’être « supérieur ». De sa nature l’homme « superieur » est moins prudent est calculateur c’est pourquoi les « faibles » ont pris le dessus. Les « faibles » ont imposé leur doctrine au monde entier et donc au homme « supérieur » aussi. Cette doctrine est menaçante pour l’homme « supérieur » car sa créativité et son intelligence sont donc réprimé de plus la norme inverse les rôles, la norme deviens l’hédonisme, la morale de l’homme « inferieur » deviens alors la norme morale.

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