L'homme et la liberté : voulons-nous vraiment être libres ?

Voulons-nous vraiment être libres ?

Les hommes affirmeront vouloir être libre. Ils ont un désir fort de l’acquisition de cette liberté. En effet la société qui en est sans doute une des causes nous instaure des contraintes dès le plus jeune âge. Et c’est à cause de ces contraintes que l’envie de liberté nait. L’homme, par sa nature, sera tenté de faire ce qu’il ne peut faire et grâce à son potentiel intellectuel il essaiera de trouver un moyen de parvenir à le faire quand même. De même fait, si l’on lui impose des contraintes il aura l’envie d’aller au-delà. Sans contraintes nous ne pourrions pas avoir d’idée de ce qu’est le contraire de la liberté. Si le contraire d’une situation vécue n’existe pas ou n’est pas réalisé alors la situation vécue ne sera pas réalisé elle-même. La liberté fait aussi rêver l’homme. Elle serait comme l’apogée de notre être comme un but ultime de sois même. Ce qui nous permettrait d’atteindre le bonheur.

Pourtant, il paraitrait que nous ne voudrions pas renoncer à un certain confort que nous aurions acquis. La liberté serait le renoncement du confort matériel et de la sécurité. Lorsque l’on en vient à ce sujet, l’homme n’est pas prêt à se séparer de ce confort dont il est devenu dépendant. Tout ce confort prend une place bien trop importante et peut dépasser l’envie pour l’homme de la liberté. L’homme, encore une fois par sa nature, trouve qu’être dépendant de quelque chose ou de quelqu’un est plus simple à vivre et plus accessible ce qui l’empêcherait aussi d’aller sur la voie de la liberté. Le travail serait un bon exemple car il nous est imposé pour pouvoir vivre dans notre société et son confort mais c’est une contrainte qui est une entrave à notre liberté

Malgré le fait que l’on ne veuille pas renoncer à notre « confort de vie », il y a certaine chose qui prouve que la volonté de la liberté en elle-même existe vraiment. Comme une recherche spirituel profonde, la liberté reste le but que l’homme pourrait rêver d’atteindre et ainsi atteindre un accomplissement de l’être humain car être libre c’est refuser à sois même ces désirs impulsif.

Nous pouvons alors nous demander pourquoi et jusqu’à qu’elle point voulons nous être libre ? Qu’elles sont les obstacles à notre désir de liberté ?

La liberté est une aspiration universelle. Effectivement on remarque que les hommes aspirent à la liberté, c’est une opinion commune que les peuples ont en commun. Le désir de liberté est le propre de l’homme. La liberté est l’indépendance parfaite de soi. Etre libre c’est aller là où bon nous semble, ne dépendre de personne, faire ses choix et décider sois même sans contrainte. Finalement la liberté serait comme vivre à l’état « sauvage ». La fable de la fontaine du chien et du renard retranscrit parfaitement cette vision de la liberté puisque le renard refuse de venir avec le chien pour bien manger et être sous les ordres du maître puisqu’il perdrait sa liberté en étant attaché et en devenant dépendant de l’homme. Cette vision de la liberté est primitive et est un rêve que l’homme peut espérer atteindre, mais cela serait renoncer à la société dans laquelle vit l’homme.

La liberté a donc différentes formes. Il peut s’agir de liberté individuelle ou de liberté collective. La liberté individuelle remet en cause tous ce qui touche au privé de l’homme, c’est-à-dire sa morale sa psychologie, son intérieur. Cette liberté ne dépend en aucun cas des autres, elle est individualiste. D’ailleurs, elle ne prendra pas en comptes des dégâts qu’elle peut poser aux autres. La liberté collective remet en cause tous ce qui est de la structure de la société dans laquelle les hommes vivent. La liberté collective est la liberté qui permet à chacun d’être le plus libre possible tout en ne nuisant pas aux autres, au contraire de la liberté individuelle, elle prend un ensemble d’être.

La liberté est par conséquent difficile à atteindre car si l’on veut garder la société qui est nécessaire à l’homme, il faut savoir rendre complémentaire la liberté individuelle et la liberté collective. Or ces deux libertés sont très difficiles à mettre ensemble : « La liberté des uns commence là où s’arrête celle des autres ». Ainsi pour optimiser la réussite de l’alliance

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