Faut-il avoir peur de ses désirs ?

Dès le XVIIIème siècle, les économistes tentent d’expliquer le phénomène de croissance économique (augmentation de la production d’un territoire sur une longue période). Le taux de croissance économique mesure le rythme de la croissance économique. Il se mesure par le taux de variation du PIB en volume. La croissance serait selon eux est le fait de la combinaison des « facteurs de production » et d’une croissance extensive et intensive. Le facteur travail (constitue des ressources en main-d’œuvre mobilisés par les unités de production pour transformer les consommations intermédiaires en besoin ou en service) et le capital (ensemble de moyens de production durable tels que les machines, les outils, …). Cependant certaines conséquences font que la croissance ne peut pas s’expliquer totalement par la hausse de ces facteurs, c’est pour cela qu’ils ont cherché s’il n’y aurait pas d’autres éléments. Cet exemple, peut nous montrer par exemple qu’en France et dans le reste du monde, entre la fin du XXème siècle et le XXIème siècles, de nombreux problèmes économiques sont posés, dont, si la hausse des ressources en main-d’œuvre et des éléments matériels ne seraient peut-être pas suffisants pour expliquer l’expansion de la production, c’est-à-dire savoir s’il y aurait d’autres éléments liés à cette expansion. Afin de déterminer quelle(s) serai(en)t le(s) autres source(s) de croissance, nous nous intéresserons dans une première partie, que les facteurs travail et capital sont sources de croissances économique, en disant que l’augmentation des quantités de chacun des facteurs est à l’origine de croissance et que la meilleure utilisation de ces deux facteurs est à l’origine de croissance. Puis en seconde partie, nous montrerons que pour une meilleure utilisation des facteurs de production, il faut qu’ils soient accompagnés par d’autres éléments, en démontrant le rôle de l’innovation et du rôle de l’Etat dans la croissance.

Les facteurs travail et capital sont sources économique. Dès la renaissance, on a pu constater leur importance.

L’augmentation des quantités de chacun des facteurs est à l’origine de croissance. C’est-à-dire, en France le principal facteur de production à l’époque était les hommes (nombreux). Puis au fil des siècles, la transition démographique fait croitre une transition démographique. On compte plus d’hommes et de femmes ce qui signifie qu’il y a une expansion de la main-d’œuvre et des marchés. Par exemple en Afrique ou en Inde, afin d’être productif avec efficacité chaque mère de famille se trouvant accouchent plusieurs enfants pour les faire travailler et pouvoir vivre mieux. C’est une augmentation du facteur travail. Le développement du capital est entrainé par l’accroissement du travail. Par exemple, sur la période 1975-2012, la croissance économique de la France passe de 100 points en taux de croissance en volume à environ 215 points en taux de croissance en volume. Et la quantité de la population active (main-d’œuvre), s’accroit faiblement à la fin du XXème siècle puis vers 1991, la main-d’œuvre montre une légère augmentation (sur le graphique du document 1). Lors des progression techniques, l’élévation du niveau culturel et les capacités techniques de la main-d’œuvre sont devenus source d’élévation de productivité. C’est-à-dire qu’en fonction des moyens d’un pays, la qualité de la main-d’œuvre est plus importante. Aux Etats-Unis la main-d’œuvre entre 1991-2003 est élevée à 0,9 en point de pourcentage tandis qu’en Finlande le facteur travail est à 0,0 en point de pourcentage. D’après cette exemple on peut constater que les Etats-Unis utilisent plus de nouvelles techniques pour que la capacité des travailleurs soit utilisée de sorte à être efficace, afin d’obtenir un PIB en augmentation. En étant productif, la population active peut travailler moins d’heure tout en gardant le même niveau de production que les concurrents sur le marché. Ces facteurs (travail et capital) sont liés à la croissance économique. Pour obtenir un niveau de production élevé l’entreprise peut utiliser peu de travail et beaucoup de capital, ou l’inverse. Pour obtenir un niveau de production élevé aussi, elle doit utiliser plus de capital pour une même masse de travail, ou l’inverse, voir même les deux à la fois.

L’un des points important pour qu’il y ai de la croissance c’est qu’il faut augmenter les facteurs de production pour avoir une croissance extensive. Cependant on peut trouver quelques problèmes à cette croissance extensive. Car les producteurs peuvent connaitre des rendements factoriels décroissant. Pour illustré, on peut utiliser l’image d’un agriculteur. Il acheté de terres pour efficace, mais au fur et à mesure d’acheter des terres, celles qu’il a acheté dans le passe sont moins fertiles donc plus il augmente son stock de facteur de production, moins le surplus engendré sera important. Cette exemple montre que ce facteur joue un rôle important dans l’économie du marché. Il montre aussi que l’investissement peut avoir deux effets. Le premier est sur l’offre du producteur, l’investissement a une capacité objective, c’est donc chercher a augmenter ces capacités de production et augmenter les quantités produites. Puis le second est sur la demande, car on achète du capital quand une entreprise investie, il y a donc une augmentation de la quantité du capital. C’est-à-dire qu’il va avoir une hausse de la production du capital, donc du PIB. On va avoir une hausse d’un ensemble de revenus dans le salaire dividende excédent brut exportation. Avec ces revenus on va avoir une hausse des dépenses (plus de consommation, plus d’investissement).

La meilleure utilisation de ces deux facteurs est les gains de productivité qui se trouvent au cœur du processus de croissance. La croissance de la production, gains de production, d’une entreprise ont pour effet de baisser les coûts de production parce que la quantité de facteur que l’on utilise est réduite. C’est-à-dire que quand on augmente la production, les coûts de production baissent. Par exemple, en Allemagne, la productivité globale des facteurs a augmenté de 1,2 en points de pourcentage entre 1991-2003, alors que le facteur travail est de -0,4 en points de pourcentage. On voit que la réduction du facteur travail a un impact sur le gain de productivité et le taux de croissance du PIB étant de 1,4 % points. Alors que au contraire les Etats-Unis ont un taux de croissance à 2,8% car ils n’ont pas baissé leur facteur travail (selon le doc 2). La production est source économique, c’est ce que l’on appelle une croissance intensive. Cette croissance est fondée

...