Explication de texte Rousseau

EXPLICATION DE TEXTE 1, PHILOSOPHIE

L’auteur s’interroge : comment atteindre le bonheur ? Comment se le procurer ? Par quelles moyens ? Il soutient l’idée que le fait de désirer toujours plus ne reviens pas à vivre dans le bonheur mais aussi que la nature est un facteur important qui elle nous aide a vivre mieux. Cette thèse est intéressante car elle remet en cause la notion de désir et de bonheur. Rappelons les définitions de bonheur et désir : le bonheur est un état de complète satisfaction et un désir c’est l’action de désirer, d’aspirer à avoir, à obtenir quelque chose. Dans un premier temps l’auteur fais un constat : il faut trouver le juste milieu entre puissance et volonté afin de ne pas désirer des choses qui sont au dessus de nos facultés. Et ensuite il affirme que la nature nous aide à satisfaire nos besoins. Mais l’imagination entre en jeux et la déception, la désillusion prend place, l’espoir, le retour à la réalité éloigne le bonheur de plus en plus. Ainsi dans une dernière partie il conclut avec sa thèse, plus la différence entre désirs et facultés est petit plus il est heureux.

Premièrement l’auteur explique, dans la première partie de ce texte, ce que la sagesse n’est pas afin de bien comprendre ce qu’elle est. Ce paragraphe commence par une question « En quoi donc la sagesse humaine ou la route du vraie bonheur ? » il délimite son texte en donc deux partie bien distinctes, comment définir la sagesse humaine et ensuite qu’est ce que la route du bonheur. Comment atteindre le bonheur ? Cette question est sous entendu dans cette question.

Il pose sa thèse « Ce n’est pas précisément à diminuer nos désirs », car si les désirs sont en dessous de nos capacités (capacités gâchés, inemployées) cela nous rendrais amènerais jamais jusqu’au bonheur. Ce sont les conditions humaines qui nous amènent à réussir nos désirs ou non. Mais il ne faut pas non plus essayer d’agrandir nos capacités car a ce moment la, les désirs deviennent irréalisable, cela rendrais l’humain misérable car nos facultés sont grandes et il ne faut pas les laisser à l’abandon si l’on veut jouir de tout son être, mais le développement de ses facultés ne veux pas dire extension illimités, il y a des limites naturelles que l’homme ne peut franchir a cause de plusieurs facteurs, puisqu’il peut augmenter les pouvoirs de son corps ou de son esprit grâce à l’évolution mais dans ce cas la il vas vers sa misère et non à sa félicité. L’auteur montre donc que tous les désirs que l’on peut avoir, pour essayer de connaître le vrai bonheur, il faut que nos désirs s’étendent jusqu'à où nos facultés peuvent aller. Ainsi il faut mettre à égalité puissance et volonté, ou désirs et capacités, ainsi l’homme ferait preuve d’une grande sagesse, et à ce moment la route vers le bonheur est possible. Cela rend compte que le fait d’acquérir une certaine sagesse serait la clé pour la route du bonheur.

Dans une deuxième partie, l’auteur rentre en compte la nature, l’imagination et l’espoir. Il dit que la nature est conçue comme une volonté intelligente ne faisant rien au hasard. L’homme est réduit à ses seules besoins nécessaire combler par la nature. Elle prend soin de proportionner besoins et facultés, cet équilibre

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