Explication Rousseau "Le bâton brisé"

PHILOSOPHIE

Jean Jacques ROUSSEAU, philosophe des lumières du XVIIIe à participer à la création de plusieurs de plusieurs œuvres qui sont encore aujourd’hui célèbre comme par exemple l’«Émile». Le célèbre extrait du bâton brisé provient de cette œuvre. Ce texte aborde en effet la question de l’origine de nos erreurs tant dans le domaine de la connaissance que dans celui de l’action et de l’expérience comme celle de l’enfant dans le texte, ce qui amène Rousseau à traiter de la sensation, faculté de percevoir certaines choses, et du jugement, faculté d’émettre des conclusion sur certaines choses. Rousseau défend dans ce texte la thèse selon laquelle « toutes nos erreurs proviennent de nos jugements ». Néanmoins, Rousseau introduit une subtilité dans la deuxième moitié du texte, en reconnaissant que si nous cessions de nous tromper nous serions plus heureux et donc que la vérité peut être source de bonheur. Ainsi, le problème philosophique posé par ce texte est celui de l’origine de nos erreurs, et plus particulièrement celui entre nos erreurs et nos jugements. Est-ce que nos erreurs viennent de nos sensations ou bien du jugement sur nos sensations ?

Nous répondrons à cette question en suivant l'ordre du texte composé de deux grandes parties argumentatives. La première partie du texte (du début du texte jusqu'à « Mais ») où il décrit une expérience ou nous utilisons nos sensation et affirme que celles-ci sont vraies. La seconde partie du texte (de « Mais quand, trompé », jusqu'à la fin du texte) nuance l'idée développée dans la première partie en expliquant que les jugements que l’on peut émettre à partir de nos sensations eux peuvent être faux. Finalement nous verrons dans quels mesures Rousseau a-t-il raison.

Ce texte à pour thème principale l’origine de nos erreurs. Rousseau dans son texte veut faire comprendre la thèse qu’il défend pour cela il va faire un raisonnement par l’absurde.

Les propos de l’auteur sont exprimer dans le premiers paragraphes qui va servir d’exemple. En effet l’exemple simple du bâton va parfaitement pouvoir illustrer la situation malgré qu’il soit simple et concret, de plus il va permettre à tout le monde de le comprendre. A travers cette exemple Rousseau veut nous faire prendre conscience de la différence entre les sensations qui sont vraies et les jugements que nous pouvons émettre à partir de nos sensations et qui eux aux contraires peuvent être fausses. L’enfant lorsqu’il voit le bâton dans l’eau, il dit que celui-ci est brisé. Mais si il tente d’allait plus loin et affirmer que ce bâton est vraiment brisé alors il tombe dans l’erreur car il a fait un mauvais jugement.

Dans la deuxième partie du premier paragraphe, il exprime sa thèse avec un raisonnement par l’absurde. Il expose le fait qu’il existe deux jugements par inspection , c'est à dire un jugement que l'on fait uniquement sous le contrôle de nos sensations. On considère alors comme étant vrai tout ce que viens de nos sensations. Or, l’auteur ici nous dis que ces ce types de jugements qui va provoquer des erreurs. C’est un jugements fait de manière passif. Contrairement

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