Les croisades

HISTOIRE-GÉOGRAPHIE

Parcours 1 : 

1. Le Pape demande à Bernard de Clairvaux de “prêcher la deuxième croisade [...] pour pousser au départ” après la chute d’Édesse en 1144. Bernard de Clairvaux est choisi car il est un des hommes les plus influents à cette époque. 

1. La prédication (action de prêcher) est un succès , on le voit grâce à l’Assemblée de Vézelay, à laquelle le roi Louis VII assiste avec un foule immense et à l’Assemblée de Chartres à laquelle de grands seigneurs assistent.

1. Les croisés sont menés par le royaume de France et de l’Empire germanique soit l’Allemagne de nos jours (par Louis VII et Conrad III de Hohenstaufen). Les croisés partent du Royaume de France pour destination la proche Orient, leurs trajets diffèrent en fonction des croisades mais presque tous passent par Constantinople, la capitale  de l’Empire Byzantin et la pillent  afin de payer aux Vénitiens la traversée de la Méditerranée. Mais la deuxième croisade met en péril la vie de nombreuses personnes, notamment celle du roi Louis VII, qui, avec son armée, traverse l’Asie mineure mais se retrouve attaqué par les Turcs. De plus, la deuxième croisade n'apporte que des défaites, on peut compter la bataille de Damas en 1148.

1. La croisade est un échec total puisqu’aucun territoire n’est conquis par le Royaume de France et aucune bataille n’est gagnée par les croisés. Bernard de Clairvaux l’explique par la religion. Le “Seigneur, provoqué par [les] péchés” a jugé “avec justice, [et] sans miséricorde” les Hommes malgré toutes les pratiques religieuses que ces derniers lui offraient. Aucun chrétien ne peut contester le sort de cette croisade car le “Seigneur” l’a voulu puisque les jugements de “Dieu” sont justes.

1. La deuxième croisade commence en 1146 et se termine en 1148. L’élément qui la déclenche est la chute d’Édesse en 1144. Le Pape Eugène III demande à Bernard de Clairvaux, un des hommes les plus influents de l’époque, de “prêcher la deuxième croisade”. La prédication est un véritable succès qui réunit une foule immense dans des Assemblés notamment celles de Vézelay et de Chartres.

Les croisés, les chevaliers chrétiens occidentaux qui se battent durant les croisades, sont menés par le Royaume de France duquel ils partent avec comme destination le proche Orient en passant par Constantinople, la capitale  de l’Empire Byzantin afin de la piller pour payer aux Vénitiens la traversée de la Méditerranée. A partir de 1147, les défaites s’enchaînent notamment celle de Damas en 1148 contre les musulmans et celle du roi Louis VII et de son escorte en Asie Mineur par le Turcs en 1147.

Ainsi, la croisade est un échec total puisqu’aucun territoire n’est conquis par le Royaume de France et aucune bataille n’est gagnée par les croisés. Bernard de Clairvaux justifie le sort des croisés comme étant la volonté du “Seigneur [qui a été provoqué par les] péchés” des Hommes et qui les a jugés  “avec justice, [et] sans miséricorde” malgré tous les sacrifices que ces derniers font. Aucun chrétien ne peut alors contester le sort de cette croisade car le “Seigneur” l’a voulu puisque les jugements de “Dieu” sont justes.

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