La mondialisation en fonctionnement acteurs et flux
Cours : La mondialisation en fonctionnement acteurs et flux. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Océane Klein • 10 Janvier 2019 • Cours • 2 433 Mots (10 Pages) • 528 Vues
NDIT : nouvelle division internationale du travail
FTN = (FMN : Firme multinationale) : firme transnationale
La firme Apple peut être considérée comme une firme transnationale (FTN)car elle organise sa production et son réseau de distribution à l’échelle mondiale. Les modèles Apple sont conçus à Cupertino dans Silicon valley aux Etats-Unis , les matières premières comme le coltan, nécessaire à la fabrication de certains composants électroniques , sont produits dans des pays du Sud pauvres comme le Congo , les pièces détachées sont fabriquées dans le monde entier mais essentiellement dans des pays émergeants situés majoritairement en Asie de l'est où les coûts de production sont faibles et l’assemblage est réalisé en Chine.
Firme transnationale – mondiale – Cupertino – silicon valley – coltan- Sud- Congo- émergent – Asie de l’Est- faibles- Chine – Foxcomm
Conception- recherche- technologie- qualifié
Nord- achat – dynamique
Flux – détachées- finis- capitaux- polarisent- l’amérique du nord- l’europe –l’asie de l’est- transports- logistique- conteneurisation- fontières- douanières- libre échange
NDIT – internationale du travail- FTN – coût – aménités- coût - qualité – infrastructures- -politique-sociale-fiscal-
Etats- fiscalité- sociale- sociale- politique- écologique - surexploitent
Chapitre 2 :
La mondialisation en fonctionnement acteurs et flux
Contrairement au idée reçu la mondialisation est phénomène ancien mais qui a connu une accélération vertigineuse depuis les années 1990. La mondialisation désigne le processus d’interdépendance croissante des économies, des territoires et des sociétés à l’échelle mondiale. Cette mondialisation a une dimension économique (commerce + production industrielle), technologique (NTIC), politique (idéologie libérale), et culturelle (uniformisation des modes de vie). L’IPhone est un objet emblématique de cette mondialisation. Tous ces éléments donnent naissance à un système monde.
La mondialisation est animée par de nombreux acteurs comme les FTN, les Etats, les migrants, les MAFIA, ect. L’action de ces acteurs génèrent des flux migratoires, des flux de marchandises, de capitaux.
Quelles sont les mécanismes de la mondialisation, comment permet-elle la mise en réseau du monde ?
- Un processus complexe aux origines anciennes
- Un processus historique
La mondialisation est un processus historique qui débute avec les grandes découvertes au XVIème siècle. Cette période permet la mise en place d’un commerce intercontinental et transocéanique. Le processus s’accélère avec la révolution industrielle XIXème siècle. On peut parler de 1ère mondialisation. Elle est dominée par les pays Européens notamment le Royaume-Uni, qui exploitent leurs colonies en Asie et en Afrique, c’est la première DIT (division internationale du travail). Les colonies produisent des matières premières à forte valeur ajoutée alors que les américains produisent des produits à forte valeur rajoutée.
On assiste à une deuxième mondialisation après 1945 impulsés par les Etats-Unis. Qui diffuse leur modèle capitaliste libéral à l’échelle mondiale. Mise en place par les Etats-Unis d’un rôle majeur de grands organismes internationaux comme la Banque mondiale, le FMI, GATT.
Enfin, dans les années 1990, on assiste au triomphe de la mondialisation, le monde est de plus en plus ouvert garce à trois évènements : La chute des régimes communiste (Berlin), l’invention d’internet, et la révolution des conteneurs. Le monde est aujourd’hui de plus en plus « petit » permettant l’interdépendance des territoires et des sociétés.
- Favorisé par de nombreux facteurs
- Des progrès spectaculaires des moyens de transport
La première raison de la mondialisation est rendu possible grâce au chemin fer, au bateau à vapeur mais aussi grâce à l’ouverture de nouvelle route maritime avec la construction du canal de Panama et de Suez.
- Une révolution logistique : la conteneurisation
La deuxieme raison de la mondialisation se caractérise par une révolution logistique : la conteneurisation. Le conteneur standard est un emballage réutilisable solide standardisé se mesure en EVP = équivalent vingt pieds.
Le conteneur est une boite métallique standardisé réutilisable qui représente d’énorme avantages logistiques. Il a de multiple avantages : il est multimodal (plusieurs transport) évite les ruptures des charges ; il est standardisé ce qui facilite la mécanisation et l’informatisation du transbordement. Le transport par conteneur est également très bon marché (par exemple Ningbo-Marseille coûte 2000 par conteneur). Les porte conteneur sont de plus en plus grands, ce qui permet des économies d’échelle.
Les porte-conteneur de plus en plus grands nécessitent des infrastructures portuaires de plus en plus performantes. Les plus grands ports de conteneurs sont des hub multimodaux (ce sont des ports reliés à la fois aux espaces proches mais aussi au espaces lointains).
- Les progrès des télécommunications
La troisième raison de la mondialisation est la révolution des NTIC (nouvelles technologies de l’information et de la communication) qui permet l’explosion des flux invisibles (flux de capitaux de service et d’information). Les capitaux circulent aujourd’hui 24h/24 autour de la planète financière qui relie les grandes places boursières mondiales : Londres, Paris, Francfort, Wall Street.
- …mais également des facteurs politiques
La dernière raison de la mondialisation est à cause de facteur politique. La baisse des tarifs douaniers a permis l’ouverture des frontières, le montant des taxes est de plus en plus faible grâce à l’action du GATT et de l’OMC (organisation mondiale du commerce). Aujourd’hui, nous vivons dans une économie monde de dimension planétaire = un système monde.
- Un monde organisé en réseau animé par de nombreux flux
A. Des échanges en expansion.
Les échanges en pleine expansion a été X8
Ces échanges concernent des flux matériel, marchandise mais de plus en plus immatérielle invisible, (capitaux information service.)
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