L'Histoire du droit de vote en France: les dates à retenir.
Cours : L'Histoire du droit de vote en France: les dates à retenir.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Ossama Bach • 14 Mars 2017 • Cours • 734 Mots (3 Pages) • 1 163 Vues
L histoire du droit de vote en France : les dates a retenir
Tout d abord il y a en 1791 : le suffrage censitaire pour élier l assemblée nationale
Le suffrage censitaire est un mode d'élection dans lequel seule une partie de la population, pouvant payer un certain niveau d'impôt, peut .voter : Emmanuel Sieyès introduisit le suffrage censitaire dans la constitution de 1791, estimant que seuls les citoyens riches contribuent à la bonne marche de l'économie nationale
Puis en 1848 il y a eu le suffrage universel masculin
Puis en 1913 l usage de l enveloppe et de l isoloir
Puis en 1944 le droit de vote des femmes
Puis en 1945 le droit de vote des militaires
Puis en 62 le referendum (Tous les citoyens appelés à élire la Chambre des députés ont le droit de participer au référendum )adoptant l élection au suffrage universel direct du président de la république
Puis en 1974 la majorité a 18 ans pus en 92 droit de vote a certaines élections accordé aux citoyens européens
[pic 1]
Les électeurs entrent dans le bureau de vote.
Un assesseur donne une enveloppe à l’électeur qui lui a montré sa carte d’identité.
L’électeur prend les 2 bulletins de vote des 2 candidats.
L’électeur entre dans l’isoloir …
… et met son bulletin dans l’enveloppe pour pas que les gens sachent pour qui il a voté.
L’électeur met son enveloppe dans l’urne, après avoir donné sa carte d’identité et sa carte d’électeur à un assesseur.
L’électeur signe le registre.
Puis ies statistique
Puis le resultat sur l tele ou internet
Aujourd’hui, l’abstention atteint des records .En effet, le taux
de participation est passé de 77,2 % en 1958 à 83,2 % en 1978
pour arriver à seulement 57, 1 % en 2012 . Alors , faut-il rendre le vote obligatoire en France ?
En France, des étrangers votent déjà
« Les droits politiques, strictement liés à la citoyenneté française ne sont pas reconnus aux étrangers, à l’exception des ressortissants communautaires pour les élections municipales et européennes. Certes, le débat sur le droit de vote des étrangers, au moins aux élections locales, demeure. Mais ce droit de vote n’est pas encore une réalité. »
- « L’abstention peut être le signe d’une certaine passivité, voire d’une franche désinvolture. Toutefois, pour nombre de personnes, ce refus de participer aux opérations électorales traduit leur déception face à « l’offre politique ». Aucun parti, aucun candidat ne représentant leur sensibilité, ils préfèrent renoncer au vote plutôt que de cautionner les personnes en place. À cela, les partisans du vote obligatoire répondent que ces électeurs déçus ont toujours la possibilité de voter blanc ou nul (nombreux sont les électeurs qui ont pris l’habitude d’inscrire sur l’un des bulletins de vote tout le mal qu’ils pensent des partis ou des personnalités en place)
- Oui, le vote doit passer du devoir à l’obligation. L’abstention est signe de passivité, de désinvolture. En effet, les Français se sont battus dans l’histoire pour acquérir le droit de vote, et ne pas profiter de ce droit pleinement acquis est un outrage. Voter permet d’exprimer son opinion, d’accomplir son devoir de citoyen français, et surtout de défendre ses droits. C’est un devoir civique, un devoir de citoyen.. Voter est un droit de l’Homme, tout comme la liberté, et l’égalité, il doit être exercé. Les élections sont l’occasion d’exprimer son engagement de citoyen, mais également son mécontentement, comme par exemple en votant blanc ou nul. D’ailleurs, il est plus intéressant de voter nul que de s’abstenir, cela permet de s’opposer à l’offre politique, tout en allant voter, et en accomplissant son devoir. Lors des élections de François Hollande, 2 millions de votes blancs ont été comptés, soit 19,6 % au second tour. Cela prouve bien l’engagement et le mécontentement des Français. Rendre le vote obligatoire, comme en Grèce ou en Belgique, permettrait donc de rappeler aux citoyens les valeurs de la République française, qui ont été durement acquises, tout en laissant aux Français la possibilité d’exercer leurs droits et devoirs, et d’exprimer leur opinion.
- Non, le vote doit rester un devoir et non une obligation. En effet, chaque citoyen a sa propre liberté de penser, et surtout d’agir. L’abstention permet d’exprimer son mécontentement, sa déception face à l’offre politique qui n’est pas forcément satisfaisante. C’est un acte militant.
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