Perte d'auréole / le soleil de Baudelaire

« fantasque escrime » métaphore, reprend le coté agressif du soleil, le poète se représente comme le double du soleil , il est a part, privilégier, exceptionnel. Mais un double inferieur, imparfait, impuissant.

Le soleil représente une image idéal de la poésie, difficile à atteindre.

L6 :

Parallèle entre la promenade en ville et l’inspiration poétique, on recherche l’inspiration mais ce n’est pas facile et on aboutie pas toujours à un succès.

On a une succession d’action au participe présent, associe l’inspiration avec la promenade , pas de succès, procéder de composition.

« flairant » il cherche, animalisation de l’inspiration , « dans tous les coins » se n’est pas facile il ne trouve pas tout de suite, et trouve par hasard,

montre qu’il n’a pas de talent, on inverse le cliché du poète inspiré.

L7 :

« trébuchant » difficulté, échec, parallélisme entre l’activité de recherche du poète et la promenade, poésie moderne.

L8 :

« heurtant parfois » difficulté, « longuement rêvé » opposition entre les moments de réussite et le reste, et c’est du hasard pas du génie.

Met en évidence la ville, un nouvelle esthétique idéal poétique, une nouvelle méthode.

L9 :

2ème strophes, parallélisme, caractérisé par l’idéalisation. On a 8 vers divisé en 2 phrase de 4 vers.

Celebration du soleil, dans un cadre bucolique. On compare l’action du soleil qui fait pousser les plantes avec l’inspiration poétique.

On ne parle plus du poète car il ne fait pas partie de ce monde, il ne s’y sent pas à sa place

« père nourricier » le soleil est personnifiée et positif en opposition avec avant. Normalement c’est la mère qui nourrit la famille, montre que le soleil peut faire le rôle du père et de la mère.

« ennemi des chloroses » maladies des villes, montre que l’on est plus dans la ville. Vocabulaire médicale typique de la poésie moderne. On rejette la maladie comme on rejette la poésie moderne par apport à la poésie conventionnel.

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