Paul Eluard, Capitale de la Douleur
Analyse sectorielle : Paul Eluard, Capitale de la Douleur. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Amir Carmelo • 4 Février 2021 • Analyse sectorielle • 538 Mots (3 Pages) • 1 661 Vues
GUERGOUR
AMIR
1G7 DEVOIR MAISON
« Capitale de la douleur » est le premier recueil de Paul Éluard, il paraît en 1926. Paul Éluard de par son vrai nom Eugène Grindel est un célébre poète du 20 ème siècle. Grâce au mouvement littéraire du surréalisme, il a su révolutionner la poèsie française .Il est l'auteur du recueil « Capitale de la douleur ». « Capitale de la douleur » est un recueil de poème qui a pour thèmes principaux l'amour ,le désir et la souffrance. Il comprend une centaine de poèmes divisés en quatre parties : « Répétitions », « Mourir de ne pas mourir », « Les petits justes », et « Nouveaux poèmes ». Selon vous en quoi le titre du recueil Capitale de la Douleur correspond t-il au contenu du recueil ? Nous allons tout d'abord parlé de la définition qu'il a du mot capitale puis pour finir traité de la douleur qui ressent et montre dans son receuil.
Mais qu'elle est cette Capitale, Paris où réside le poète et où il vit douloureusement ou Gala, son épouse, qui est est le coeur de son royaume et qui le fait tant souffrir en raison de ses passions.On peut aussi comprendre le titre comme le superlatif de la souffrance, de la douleur. Mais pour en revenir a Paris elle même. Paul Eluard y a passé une majeure partie de sa vie notamment quand elle était sous l'occupation allemande. Il y a même dédié un poème Paris pendant la guerre Ou il voyait même déjà une France délivrée ; « Et les mains de désir qu’elle impose à son glaive, Enivrent d’ouragans le monde délivré. » En d'autres termes c'est peut-être tout ces élèments qui ont fait que Paul Eluard renvoi ses sentiments au mot Capitale.Mais tout cela nous dirige vers une seule voie :La douleur
La seconde partie du titre le mot douleur traite de sa rupture avec Helena Dimitrieva Diakonova de son surnom Gala Ex-conjointe de Eluard . Elle le quitte en 1928 pour le peintre Salvador Dali .En elle, Paul Eluard voyait une meilleure amie, une confidente, une âme sœur, un tout. Si bien qu'après sa rupture, il se met à développer une certaine mélancolie du à son chagrin qui ressemble au Spleen.Mélancolie qu'on peut retrouver dans La courbe de tes yeux « La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur »ou dans L'amoureuse « Elle est debout sur mes paupières ». Mais il exprime aussi du ressentiment envers Salvador Dali qu'il fait bien savoir dans Ne plus partager « La forme des paroles d’un inconnu » , « La chevelure de la route a mis son manteau rigide ».
Pour finir ,malgré sa complexitée le titre corespond totalement au contenu de recueil car la capitale aborde les prncipaux moments passés avec sa muse et la douleur nous montre ses sentiments aprés l'avoir perdu .
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