La peur

Quand nous possédons l’impression d’être suivi ou que nous appréhendons le passage dans une rue assez sombre par peur d’être attaqué, tout cela n’est qu’instinctif car en réalité personne n’est en train de nous suivre et rien ne va nous arriver.

La personnes s’imagine à l’intérieur d’elle tout les scénario possible concernant ces situations.

Etymologie : « phobos » mot grec, signifiant la peur la crainte et l’effroi.

Chapitre 1 : Qu’est ce que la phobie ?

La façon dont nous réagissons à une difficulté de la vie quotidienne peut transformer celle-ci en problème. Lorsque nos tentatives de solutions ne permettent pas de dépasser cette difficulté alors elles contribuent à la maintenir et même à l’amplifier jusqu’à la transformer en ‘’problème’’ récurrent.

Les phobies, c’est fini ! de Alexandra de Sénéchal

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Phobie : (l. 5-9)

- Peur irraisonnée et irraisonnable (ne pouvant être raisonné)

- Incontrôlée et Incontrôlable

- Manifeste lors d’une situation en face d’un animal, lieu, etc.. Alors qu’il n’existe aucun danger réel pour la personne

On se crée une construction intellectuelle que nous élaborons suite à nos expériences pour « se protéger ». (l. 15-18)

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Phobies classées sur 3 types :

- Phobies spécifiques (redoute un objet, un animal ou une situation précise)

- Phobies sociales (relations humaines : ex : s’exprimer en public, peur du regard des autres…)

- Agoraphobie (phobies des lieux publics, grands espaces, a besoin d’être en sécurité)

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Causes des phobies : existe deux grandes catégories :

- Évènement traumatique précis (accidents, viols, agressions, décès,…) => évènement déclencheur

- Origines diffuses : culturelles, familiales, mimétismes ( ?)

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Phobiques :

- Êtres angoissés par la nature

- Particulièrement sensibles

(Ils ressentent et voient beaucoup de choses que les personnes moins sensibles ne ressentent et ne voient pas, ils possèdent aussi une imagination fertile pouvant s’imaginer énormément de choses faisant qu’augmenter leurs angoisses)

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Phobiques sont en manque de sérotonines. Ils en fabriquent moins que la moyenne => ce qui les rend encore plus sensibles à des éléments psychologiques.

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