La Peur
Étude de cas : La Peur. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar tibs1664 • 14 Septembre 2012 • Étude de cas • 2 212 Mots (9 Pages) • 5 530 Vues
La peur est une émotion ressentie généralement en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. En d'autres termes, la peur est la capacité de reconnaître le danger et de le fuir ou de le combattre, également connue sous le terme « réponse combat-fuite ».
Par extension, le terme peut aussi désigner l'appréhension liée à des situations déplaisantes ou à des animaux répugnants. Il est alors question de phobie, mot issu d'une racine grecque désignant la peur comme notamment la claustrophobie, l'acrophobie, l'arachnophobie ou l'agoraphobie. D'un point de vue neurologique, elle est essentiellement une activation de l'amygdale (ensemble de noyaux au niveau des lobes temporaux). L'activation de l'amygdale correspond généralement à un sentiment de danger imminent. Elle peut entrainer une inhibition de la pensée et prépare l'individu à fuir ou à se défendre.
Certains psychologues tels que John B. Watson, Robert Plutchik et Paul Ekman ont suggéré que la peur était créée par un flux d'émotions incluant la joie, la tristesse et la colère. La peur devrait être distinguée de l'état d'anxiété. Par ailleurs, la peur est générée par les comportements spécifiques de l'évitement et de la fuite, alors que l'anxiété est le résultat de menaces perçues comme étant incontrôlables ou inévitables.
La peur est une émotion ressentie généralement en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. En d'autres termes, la peur est la capacité de reconnaître le danger et de le fuir ou de le combattre, également connue sous le terme « réponse combat-fuite ».
Par extension, le terme peut aussi désigner l'appréhension liée à des situations déplaisantes ou à des animaux répugnants. Il est alors question de phobie, mot issu d'une racine grecque désignant la peur comme notamment la claustrophobie, l'acrophobie, l'arachnophobie ou l'agoraphobie. D'un point de vue neurologique, elle est essentiellement une activation de l'amygdale (ensemble de noyaux au niveau des lobes temporaux)[1]. L'activation de l'amygdale correspond généralement à un sentiment de danger imminent. Elle peut entrainer une inhibition de la pensée et prépare l'individu à fuir ou à se défendre.
Certains psychologues tels que John B. Watson, Robert Plutchik et Paul Ekman ont suggéré que la peur était créée par un flux d'émotions incluant la joie, la tristesse et la colère. La peur devrait être distinguée de l'état d'anxiété. Par ailleurs, la peur est générée par les comportements spécifiques de l'évitement et de la fuite, alors que l'anxiété est le résultat de menaces perçues comme étant incontrôlables ou inévitables[2].
La peur est une émotion ressentie généralement en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. En d'autres termes, la peur est la capacité de reconnaître le danger et de le fuir ou de le combattre, également connue sous le terme « réponse combat-fuite ».
Par extension, le terme peut aussi désigner l'appréhension liée à des situations déplaisantes ou à des animaux répugnants. Il est alors question de phobie, mot issu d'une racine grecque désignant la peur comme notamment la claustrophobie, l'acrophobie, l'arachnophobie ou l'agoraphobie. D'un point de vue neurologique, elle est essentiellement une activation de l'amygdale (ensemble de noyaux au niveau des lobes temporaux)[1]. L'activation de l'amygdale correspond généralement à un sentiment de danger imminent. Elle peut entrainer une inhibition de la pensée et prépare l'individu à fuir ou à se défendre.
Certains psychologues tels que John B. Watson, Robert Plutchik et Paul Ekman ont suggéré que la peur était créée par un flux d'émotions incluant la joie, la tristesse et la colère. La peur devrait être distinguée de l'état d'anxiété. Par ailleurs, la peur est générée par les comportements spécifiques de l'évitement et de la fuite, alors que l'anxiété est le résultat de menaces perçues comme étant incontrôlables ou inévitables[2].
La peur est une émotion ressentie généralement en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. En d'autres termes, la peur est la capacité de reconnaître le danger et de le fuir ou de le combattre, également connue sous le terme « réponse combat-fuite ».
Par extension, le terme peut aussi désigner l'appréhension liée à des situations déplaisantes ou à des animaux répugnants. Il est alors question de phobie, mot issu d'une racine grecque désignant la peur comme notamment la claustrophobie, l'acrophobie, l'arachnophobie ou l'agoraphobie. D'un point de vue neurologique, elle est essentiellement une activation de l'amygdale (ensemble de noyaux au niveau des lobes temporaux)[1]. L'activation de l'amygdale correspond généralement à un sentiment de danger imminent. Elle peut entrainer une inhibition de la pensée et prépare l'individu à fuir ou à se défendre.
Certains psychologues tels que John B. Watson, Robert Plutchik et Paul Ekman ont suggéré que la peur était créée par un flux d'émotions incluant la joie, la tristesse et la colère. La peur devrait être distinguée de l'état d'anxiété. Par ailleurs, la peur est générée par les comportements spécifiques de l'évitement et de la fuite, alors que l'anxiété est le résultat de menaces perçues comme étant incontrôlables ou inévitables[2].
La peur est une émotion ressentie généralement en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. En d'autres termes, la peur est la capacité de reconnaître le danger et de le fuir ou de le combattre, également connue sous le terme « réponse combat-fuite ».
Par extension, le terme peut aussi désigner l'appréhension liée à des situations déplaisantes ou à des animaux répugnants. Il est alors question de phobie, mot issu d'une racine grecque désignant la peur comme notamment la claustrophobie, l'acrophobie, l'arachnophobie ou l'agoraphobie. D'un point de vue neurologique, elle est essentiellement une activation de l'amygdale (ensemble de noyaux au niveau des lobes temporaux)[1]. L'activation de l'amygdale correspond généralement à un sentiment de danger imminent. Elle peut entrainer une inhibition de la pensée et prépare l'individu à fuir ou à se défendre.
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