La charogne / les fleurs du mal / Baudelaire
Commentaire d'oeuvre : La charogne / les fleurs du mal / Baudelaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar NICOLAS HADJIDIMITRIOS • 27 Novembre 2021 • Commentaire d'oeuvre • 276 Mots (2 Pages) • 338 Vues
Intro :
Le recueil des Fleurs Du Mal apparaît pour le première fois en 1857, mais suite à un procès pour atteinte aux bonnes mœurs . Baudelaire se voit contraint de censure 6 poèmes jugés licencieux, il proposera alors une nouvelle édition en 1861.
Dans la première section « spleen et idéal » le poète en quête de perfection poétique alterne entre des brefs moment de bonheur et des périodes de désespoir profond.
Il relate une charogne le souvenir de promenade, il s’adresse vraisemblablement à sa maîtresse jeune d’uval et se remémore une rencontre peu opportune avec un animal mort en train de se décomposé. Au travers de se tableau répugnant, le poète vas nous entraîner dans une réflexion sur le pouvoir de la poésie et la beauté du monde.
En quoi cette vision horrible d’une charogne est-elle paradoxalement un prétexte pour Baudelaire à l’expression de la beauté et à son rôle de créateur ?
1-20 -> une découverte surprenante
20-36 -> description détaillée de la charogne
36-fin -> Carp diem qui rend hommage à la poésie
Il essaie de rendre la mort belle
Conclusion « une charogne » Baudelaire
Ce poème illustre le projet poétique de la boue et l.or. Ce poème reflète la méthode baudelairienne car il extrait la beauté du mal ou de l’horrible.
Baudelaire démontre ici que l’Art poétique peut être valorisé et c’est ce qui fait sa force. Le poète prouve sa modernité en détournant les clichés de la poésie traditionnelle. Enfin dans « une Charogne » le poète transforme sa femme en une horrible carcasse en décomposition mais en tant que lecteur nous avons l’impression que c’est la plus belle des carcasses.
Ouverture sur « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie »
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