Jean de La Bruyère, Du souvenir ou de la République, "Les caractères", 1688
Commentaire de texte : Jean de La Bruyère, Du souvenir ou de la République, "Les caractères", 1688. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar katelltrehin • 15 Juin 2018 • Commentaire de texte • 983 Mots (4 Pages) • 1 420 Vues
FRANCAIS
Argumentation
Texte 1 : Jean de La Bruyère, Du souvenir ou de la République, "Les caractères", 1688
Introduction
Jean de la Bruyère qui a écrit "les caractères" en 1688 fait parti du mouvement littéraire du classicisme qui a pour but de plaire et d'instruire avec des règles éthiques et morales. Notre auteur Jean de la Bruyère est un moraliste français, son oeuvre unique "Les caractères" est reconnue grâce à son expérience du monde et des hommes. Il publie à titre posthume "les dialogues sur le Quietisme". Il meurt seul. Pour répondre à la problématique, nous allons faire une partie sur ses manières de dénoncer la guerre et une seconde sur les conséquences de la guerre.
Problématique :
Quelle et la thèse de l'auteur et comment la défend il ?
I- Comment Jean de la Bruyère dénonce-t-il la guerre ?
a- avec des figures de style.
Premièrement, nous voyons une personniication de la guerre dès les premières lignes avec "la guerre a pour elle", "on l'a toujours", (L 1-2). Ce qui donne au texte une dimension plus réaliste. Comme la guerre est une personne, cela peut être chacun de nous.
Grâce à l'antithèse "malheur déplorable, mais ordinaire" l'auteur nous dit que c'est la fatalité
b- avec des arguments historiques
ici l'auteur nous convaint avec le champ lexical de la guerre."bataille", "mort", "tuer", "militaire"
De plus le présent de vérité générale est utilisé. "te joint", "t'enlève"
La Bruyère montre l'horreur des guerres pour si peu de choses : « pour quelques morceaux de terre de plus ou de moins» (5-6).
Et en fin il utilise un euphémisme pour montrer que les hommes ont camoufler l'horreur de la guerre avec« de belles règles que l'on appelle l'art militaire : ...» (7-..)
La Bruyère dénonce avec vigueur les méfaits de la guerre, ses atrocités, son absurdité et la futilité de ses causes.
c- le registre ironique
De la Bruyère utilise une antithèse : "dépouillés, brulés, tués "..."ingénueusement, avec plus de sureté" (L8-9). Il se moque de la guerre en
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