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Grand oral acidité des océans

Commentaire de texte : Grand oral acidité des océans. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  10 Novembre 2022  •  Commentaire de texte  •  1 684 Mots (7 Pages)  •  1 256 Vues

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De quelle manière le réchauffement climatique influe-t-il sur l'acidité

des océans et quels en sont les impacts sur la biodiversité ?

De quelle manière le réchauffement climatique influe-t-il sur l'acidité

des océans et quels en sont les impacts sur la biodiversité ?

De quelle manière le réchauffement climatique influe-t-il sur l'acidité

des océans et quels en sont les impacts sur la biodiversité ?

L’ACIDITE DES OCEANS

La Terre a vu naître plusieurs périodes climatiques. Des froides telle que celle appelée « Carbonifère Permien », il y a environ 300 Millions d’années mais également des plus chaudes lors du Crétacé, il y a environ 100 Ma. En effet, nous constatons plusieurs variations de températures au courant des différentes décennies. Actuellement, nous observons un réel réchauffement climatique qui a débuté à partir des années 90. Les océans, quant à eux, ont un rôle majeur dans ces changements. Nous allons nous demander, de quelle manière le réchauffement climatique peut influer sur les océans et quels en sont les impacts sur la biodiversité marine ?

Le réchauffement climatique est un phénomène observé depuis

plusieurs décennies, traduisant l'augmentation de la température

globale de la Terre. Sa cause principale est l'augmentation des gaz à

effets de serre dans l'atmosphère. Ces gaz sont principalement la

vapeur d'eau, l'ozone, le méthane et le dioxyde de carbone.

Ce dernier (CO2) est  dissous par les océans en acide carbonique

CO2+ H2O →  H2CO3

Cette dissolution est naturelle et bénéfique à l'environnement. En effet,

elle permet tout d'abord à certaines espèces, comme le phytoplancton

(algues microscopiques), d'effectuer la photosynthèse (Processus par

lequel les plantes vertes synthétisent des matières organiques grâce à

l'énergie lumineuse, en absorbant le gaz carbonique de l'air et en

rejetant l'oxygène). De plus, les océans agissent ainsi comme

régulateurs du climat, participant à la baisse du taux de dioxyde de

carbone atmosphérique, en limitant ainsi les effets des émissions

anthropiques (émissions d'origine humaine), puisqu’ environ 26% de ces

gaz sont dissous par les océans

Le réchauffement climatique est un phénomène observé depuis

plusieurs décennies, traduisant l'augmentation de la température

globale de la Terre. Sa cause principale est l'augmentation des gaz à

effets de serre dans l'atmosphère. Ces gaz sont principalement la

vapeur d'eau, l'ozone, le méthane et le dioxyde de carbone.

Ce dernier (CO2) est  dissous par les océans en acide carbonique

CO2+ H2O →  H2CO3

Cette dissolution est naturelle et bénéfique à l'environnement. En effet,

elle permet tout d'abord à certaines espèces, comme le phytoplancton

(algues microscopiques), d'effectuer la photosynthèse (Processus par

lequel les plantes vertes synthétisent des matières organiques grâce à

l'énergie lumineuse, en absorbant le gaz carbonique de l'air et en

rejetant l'oxygène). De plus, les océans agissent ainsi comme

régulateurs du climat, participant à la baisse du taux de dioxyde de

carbone atmosphérique, en limitant ainsi les effets des émissions

anthropiques (émissions d'origine humaine), puisqu’ environ 26% de ces

gaz sont dissous par les océans

Le réchauffement climatique est un phénomène observé depuis de nombreuses années, traduisant l'augmentation de la température globale de la Terre. Sa cause principale est l'augmentation des gaz à effets de serre émis par l’Homme dans l'atmosphère. Ces gaz sont principalement : la vapeur d'eau, le méthane, l’ozone et le dioxyde de carbone. Cette évolution du climat induit de nombreuses conséquences que ce soit au niveau de l’environnement, des humains ou encore de l’ensemble des écosystèmes. Ici nous allons particulièrement nous intéresser à l’acidification des océans. En effet, les océans agissent comme régulateurs du climat, participant à la baisse du taux de dioxyde de carbone atmosphérique en limitant les effets des émissions anthropiques (émissions d'origine humaine). Aujourd’hui, environ 26% des gaz à effet de serre sont dissous par les océans. Il faut savoir que le CO2 dissous va former de l’acide carbonique : CO2+ H2O →  H2CO3. Cependant, l’acide carbonique, ainsi présent dans les océans, se sépare pour former un ion carbonate, en libérant des ions hydroniums (H+). Ces derniers sont responsables de l’acidité des océans. En effet, plus la concentration en ions hydronium dans les océans est élevée, plus leur acidité sera forte. Cette acidité peut être démontrée via une échelle de pH, allant de 0 à 14 unités. Elle permet de définir si un milieu est acide (de 0 à 6), basique (de 8 à 14) ou neutre (pH = 7). Les océans ont des eaux alcalines, au pH basique, qui cependant s’acidifient du fait de ce réchauffement. En effet l’augmentation de la présence d’ions hydronium dans les eaux aboutit à une baisse du pH, et donc une acidification des océans.

L’acide carbonique présent dans les océans et résultant de la

dissolution du dioxyde de carbone atmosphérique se sépare pour former

un ion carbonate, en libérant des ions hydronium (H+).

Ces ions hydronium sont responsables de l’acidité des océans. Plus la

concentration en ions hydronium dans les océans est élevée, et plus

leur acidité sera forte. Cette acidité peut être démontrée via une échelle

appelée échelle pH (potentiel hydrogène), allant de 0 à 14 unités. Elle

permet de définir si un milieu est acide (de 0 à 6), basique (de 8 à 14)

ou neutre (pH = 7)Le réchauffement de la planète, intensifié principalement par

l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre par l'homme,

notamment par l’agriculture, les industries, ou encore le chauffage,  

pose problème quant à l’acidification des océans, puisqu’il amplifie le

phénomène de dissolution du dioxyde de carbone. Ces dernières

années donc, l’acidification des océans croît de façon accélérée et

anormale (de 8,25 en 1751 à 8,14 en 2004). (pH qui reste basique, mais

qui se rapproche de plus en plus d’un pH acide)

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