Les sources du comique dans Gargantua de Rabelais

Nous allons démontrer quelles sont les sources du comique dans gargantua. Mais qu’est-ce-qu’un registre comique, un registre comique s'applique à des sujets ordinaires, traités dans un style familier, où souvent domine l'intention satirique et morale comme « Garguantua » étant un roman de François Rabelais écrit au 16ème siècle en 1534 suite a « Pantagruel ».

Gargantua est une œuvre comique qui marque la rupture entre le Moyen-âge et qui peut également être considéré comme un manifeste. François Rabelais mais en avant le comique dans son œuvre avec un univers fantastique car les géants n’existant pas se sont donc des personnages fictifs imaginé par l’auteur , tout comme le cadre spatio-temporel. On se trouve donc dans un registre comique et fantastique. Le comique se retrouve également dans l’éducation de gargantua, l’auteur se « moque » car à cette époque une bonne éducation n’était faite que par les moines qui sont censé être les seules a détenir le savoir. Mais dans son livre se sont des professeur ce qui est contraire a la réalité.

Les profs ont tous également un accoutrement qui porte le rire, « chapeau » « pointue » qui peuvent faire allusion a des sorcière, de petite lunette avec des visages très ronds peuvent amener au rire.

Les professeurs ont également tous une morphologie étrange comme si il sortait tout droit de l’univers de Breizh of the Deadécrit par julien Morgan.

Le coté comique se retrouve également dans le style d‘écriture avec l’emploie de langage familier voir même grossier, cela va même jusque au injure.

Rabelais va utilisé toutes les sortes de comiques , avec le comique de mot lorsqu’il utilise « « torchecul » où un langage grotesque est utilisé tel que le terme « chieur », « foireux », ou encore le mot « merdeux ». Pour nous faire rire, Gargantua va utilisé tout et n’importe quoi pour se « torcher le cul ». En lisant le livre, on apprend qu’il à essayer des légumes : « du fenouil », des draps , des couvertures et plein d’autres choses qui ont un rapport avec la lingerie, et il finira son expérience en se « torchant » avec des animaux tel qu’un coq et un pigeon. Il finira par trouver le « meilleur torche cul », un oisillon. L’auteur emploie le comique du nombre lorsqu’il dit « On avait tuer trois cent soixante mille et quatorze de ces bœufs gras », « qu’il noya deux cent mille quatre cent dix huit ». Dans se même comique, Rabelais utilise le gigantisme lorsqu’il raconte que Gargantua est un géant et que à sa naissance, « on fit venir pour lui dix-sept mille neuf cent vaches de Pontille et de Bréhémon pour l’allaiter quotidiennement ». L’auteur fait beaucoup usage du comique carnavalesque dans son œuvre.

Pour conclure le comique se retrouve dans les personnage et dans le cadre spatio-temporel mais également dans le style d’écriture de Francois Rabelais. Il utilise également l’univers fantastique ce qui peut plaire au lecteur. On peut remarquer également que le gigantisme est utilisé également dans le livre Micromégas écrit par Voltaire et paru en 1752. Dans ce livre, le personnage principal en allant sur Saturne traite la population de « nains » en se moquant.

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