Les fausses confidences de Marivaux

Les Fausses Confidences est une comédie en trois actes et en prose de Marivaux est paru en 1737, siècle des lumières. Dorante, un jeune noble a perdu sa fortune. Dubois son ancien valet le kit pour entrer au service d’Araminte. cette dernière est une riche héritière, ravissante et jeune veuve. mais sa mère, Madame Argante rêve de voir sa fille devenir comtesse. Dubois va alors mettre un stratagème en place pour aider Dorante à conquérir Araminte. On peut alors se demander, en quoi les fausses confidences et autres stratagèmes constitue-t-il le ressort principal de cette comédie. D'une part, nous étudierons les stratagèmes et fausses confidences au centre de la pièce. Enfin, nous verrons en quoi ces stratagèmes et fausses confidences font de cette pièce une comédie. oui

Dans cette pièce les stratagèmes et fausses confidences sont au centre de la pièce. Dorante est fils de de bourgeois mais ruiné. Il ne peut donc pas avouer à Araminte qu’il est amoureux d’elle car celle-ci fait partie de la haute société. Puisqu’ils doivent tous les deux faire attention aux conventions social, Dorante n’est donc pas un bon partie pour Araminte. Mais Dubois, l’ancien valet de Dorante passé au service d’Araminte, met au point un stratagème : il pousse Dorante à se faire engager comme intendant au près d’Araminte pour séduire la jeune femme et que celle-ci lui avoue ensuite ses sentiments. Ce stratagème constitue le ressort de la pièce.

Araminte, elle de son côté a été promise au comte Dorimont par sa mère Argente qui souhaite faire entrer sa fille dans la noblesse. Araminte appartient donc à la grande bourgeoisie mais sa mère souhaite tirer profit de sa fortune en la mariant au comte. Les autres personnages sont également considérés selon leur rang social et leur fortune. Monsieur Rémy envisage de marier Dorante à Marton car elle est héritière d’une veille parente, jusqu’à ce qu’il lui préfère une veuve de 35 ans qui possède trente milles livres de rente. Grâce, entre autres, aux personnages de Monsieur Rémy et de Madame Argente, Marivaux dresse la satire d’une société obnubilé par l’argent et le rang social. Et on peut ainsi constater leur importance à cette époque. Mais ces conventions sont mises à mal par le personnage de Dubois. Finalement, un simple valet par ses stratagèmes et fausses confidences parvient à effacer ces conventions sociales. Ce personnage du peuple manipule des hommes et des femmes de la haute société et permet le triomphe de l’amour.

Dubois, maître du jeu, tire les fils tel un marionnettiste. Dans le première fausse confidence essentiel Dubois révèle à Araminte en exagérant les faits que Dorante est épris d’elle depuis plusieurs mois. En soit cette confidence n’est pas fausse puisque Dorante aime réellement Araminte, mais elle l’est dans son intention car elle a pour but de tromper et manipuler la jeune femme. Tous au long de la pièce de nouveaux rebondissements viennent complexifier l’intrigue en s’imbriquant les uns dans les autres. Dorante reçois une demande en mariage manigancée par Dubois en arguent que son cœur et déjà puis. Marton croit alors que Dorante est épris d’elle ce qui suscite la jalousie d’Araminte. Un quiproquo s’en suit autour d’un portrait apporté par Dorante, qui se révèle être celui de Araminte. Ce sont ici les stratagèmes de Dubois mais presque tous

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