Le comique n'est pas que désespoir.

Le comique n’est pas que désespoir

D’une part, le comique offre une issue puisqu’il détend les relations entre les personnages et permet à chacun de prendre conscience de ses défauts. C’est à dire, que lorsque les spectateurs sont en train de regarder la pièce, il peuvent s’apercevoir de leur défauts. Par exemple, Le Malade imaginaire est une pièce où Molière fait la satire des médecins charlatans de l’époque à travers Toinette, qui s’est déguisée en médecin et a fit le diagnostique à Argan, le protagoniste, pour lui faire voir son obsession (il est hypocondriaque). En voyant Le Malade imaginaire peut-être quelques personnes se sont aperçu qu’ils étaient hypocondriaques ou qu’ils étaient en train de visiter un docteur qu’était plutôt un charlatan, et donc ils découvraient leur naïveté.

D’autre part, le comique peut s’appuyer sur des raisonnements fondés et donner lieu à une réflexion productive, loin de toute absurdité. Autrement dit, le comique peut susciter une réflexion plus profonde chez les personnes. Par exemple Dom Juan est une oeuvre de Molière qui fait réfléchir sur la religion. Dans la pièce, Dom Juan est le maître de Sganarelle, un homme croyant. Ils ont un dialogue sur la religion, un sujet grave qui voit s’affronter l’athéisme et la foi. Cette pièce emmène une réflexion de la part des personnes, puisque les deux arguments, en dépendant du point de vue, ont du sens et sont logiques.

La religion à l’époque était obligatoire, c’est-à-dire, tu devais être christian, croyant si tu étais de la noblesse pour être ‘accepté’.

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