La Bruyère, les caractères, Lire XI , "De l'Homme"
Compte rendu : La Bruyère, les caractères, Lire XI , "De l'Homme". Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ku-yrdbf • 13 Octobre 2022 • Compte rendu • 3 477 Mots (14 Pages) • 814 Vues
La littérature d'idées du XVIème au XVIIIème siècle
La Bruyère, les caractères, Lire XI , "De l'Homme"
Epreuve écrite du mercredi 11 janvier 2023
Durée 4 heures : 8h à 12h
Au choix: commentaire ( texte indéterminée)
contraction de tetxe + essai ( littérature d'idées)
6/09/2022
Comment caracteriser la nature humaine ?
Introduction: Dans cette séquence il sera question des rapports et des comportements des individus en sociétés, La Bruyère à obversé ses contentporaint et il en a tiré quelques conclusion et quelques portrait dans ce livre 11. Voir lécture
complémentaire.
La Bruère accepte déja de ne pas plaire à tous les lecteurs .
2ieme extraits
La Bruyère montre comment un individus choisis d'avouer le plus petit de ses défault pour en cahcher de plus grands.
Emulation : Peut se définir comme un esprit de compétition entre les individus. C'est ce que La Bruyère vas montrer dans le 3ième extrait.
Dans le dernière extrait La Bruyère dit éssentielment que l'on reconnait l'intéligence d'un individus au faites qu'il ne jalousera pas un individus de talent et qui à bien appris sont métiers
Dominique Picard, Politesse, savoir-vivre et relations sociales, Que sais-je PUF (2010)
07/09/2022
Les textes du baccalaureat O.E. Littérature d'idéees.
1 - Mémalque (La Bruyère)
2- Gnathon ( La Bruyère)
3- Madame du Deffand (lettre)
* Identifier les textes
* Confronter les textes
Les deux portraits de La Bruyère sont du domaine de la fiction.
La lettre de Mme Du deffand représente l'image d'une personne qui a vraiment existé
Les trois textes se distingue en tant que genre littéraire : Portrait, Lettre.
Les 2 portrait de La Bruyère nous renvois à la société du 17 siècle
La lettre de MMe Deffant nosu renvois au 18ieme siècle (siècle des lumières)
Ais: planche ( menuisier)
08/09/2022
Dominique Picard s'interroge sur le sens de deux notion : " savoir vivre" et "politesse" parceque nous avons tendance à les utiliser comme des synonyme.
Par conséquent elle revient à l'histoire et à l'étymologie (origine des mots) Ansi elle remonte aux XVèmd et XVIème siècle.
Cet aussi en fonction de changement politique dans l'histoire qu'on a prefére utiliser un mot plutôt que un autre par exemples, sous la Révolution :
"Civilité "
09/09/2022
Explication linéaire
La Bruyère, "Ménalque" (extrait), Les Caractères (1688-1694)
Ligne 1 à 6. Du Domicile à la rue
Ligne 6 à 9. Un vrai danger public
Ligne 9 à 14. Du commic au ridicule
Ligne 14 à 18. Ménalque étrangé à lui-même et aux autres
Introduction.
Ménalque est un homme riche mais donc l'étourderis est observée des que commence ça journée de son domicile à la rue. Au moyen d'une écriture théatrale et par différentes formes du comiques, La Bruyère montre aux lécteurs que le personnage ne s'accorde jamais avec la situation et qu'il n'est jamais à ca place, l'extrait du portrait représente Ménalque dans ces sortis et ces rencontres. C'est à dire de son domicile à la rue comme un dangé public du comique au ridicule pour montrer enfin que Ménalque est étrangé à lui même et au autres en générale.
La Bruyère introduit son personnage par des verbes d'actions : "descend", "ouvre" et "referme"
Mais l'auteur emplois aussi des verbes de percéptions : "s'aperçoit", "s'examiner", "se trouve" et "il voit".
En alignant des verbes au présent, La Bruyère montre ansi que Ménalque agit mécaniquement sans réflexions et qu'il est toujour en décalage avec les situations.
Le comique se révèle par la situation et le caractère ( comme au théatre) par exemple "le bonnet de nuit", "il voit que son épee est mise du côté droit".
En mouvement ce personnage anticpe aucun obstacle sur son chemin faute de vigilance.
L'auteur emploit la négation pour souligner son défault comme pour insister, Ligne 4 "il ne soupçonne point ce que ce peut être"
Chaque fois les verbes de percéptions marque un retour brutal à la réalité.
Le comique relève donc aussi du geste
13/09.
Ligne 6 à 9. Un vrai danger public
Un prince parfois appelé un grand avec La Bruyère.
La Bruyère associe dans ce mouvement (passage du texte), le comique de caractère et le comique de geste, dans le but de mettre Ménalque a égalité avec l'aveugle.
Dans la phrase l'expressions "on l'a vu" donne le ton de l'anecdocte à l'épisode et la tornure interpersonelle souligne aussi un comique de répétition pour caricaturer l'étourderi.
L'auteur montre que son personnage fait aucune différence entre les individus, tous le monde ce vaut d'aprés lui.
Ménalque a une source d'embarras et de confusion en société en somme il met toute la société en désequilibre
Ligne 9 à 14 du comique au ridicule
Une gradation montre que Ménalque était étrangé à ses affaires personelles tellement il est confus .
La gradation par l'emploi des verbes est ascendente au point d'en accuser les autres de son désordre.
Il y a aucune remise en question
La Bruyère compare Ménalque à une femme
Citation " semblable a cette femme qui prenait le temps de demander son masque lorsque elle avait sur son visage "
Phrase complexe d'abord et la comparasion ensuite sont les deux procédés d'écriture important utilisés
La scène suivante de la Perruque illustre le ridicule .
La ponctuation entre les deux parties de la phrase c'est pour remplacer les points pour montrer une cause à effet immédiat.
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