L’occupation Allemande et lé régime de vichy on meurtri la liberté d’expression en France

                      Commentaire sur « Courage » de

                              Paul Éluard

 L’occupation Allemande et lé régime de vichy on meurtri la liberté d’expression en France : c’est l’occasion pour un groupe d’artistes et d’écrivains d’entrer en Résistance et proclamer la foi pour la liberté : les poètes de la Résistance.

Paul Éluard est l’un d’entre eux. Entré en Résistance en 1942, il publiera d nombreux recueil politique en percevant sont écriture lyrique moderne et engagée.

Dans un premier temps, nous analyserons la manière dont Eluard dénonce la barbarie des occupants nazis. Dans un second temps, il contient d’évoquer le contenu de ce message d’espoir qui appelle à la Résistance.

    Tout d’abord, le poète critique, puisque devenu Résistant, l’occupant Allemand exerce sa violence sur le peuple de Paris.

Ainsi, Paul Éluard  fait une évocation très suggestive de la violence durant cette époque tourmentée qu’est le Régime de Vichy. C’est par l’emploi du champ lexical de la souffrance morale que Paul Éluard la dénonce : « malheureux » v. 7 ; « malheur » v.5 ; « au secours » v.11 ; « désordre » v.20 …  Cette souffrance est accentuée par une antithèse au vers 6 : « Et la sagesse et la folie » Par ailleurs, il incite à l’action par la critique acerbe des ces pratiques barbares sous un faux nom, celui de Maurice Hervent.

Ensuite, le poète constate le dénuement de la France, de Paris. Et la misère subie par les Français.

En outre, ce dénuement est accentué par le champ lexical de la pauvreté et de la misère : « froid ; faim » v.1 ; « pauvres » v.5 ; « affamés » v.10 ; « pâleur ; maigreur » v.14 ; « nudité » v.13 …  Le poète accentue la pauvreté et la misère avec une hyperbole au vers 3 : « vieux vêtements de vieille » Il insiste encore plus sur le malheur de Paris avec des répétition aux vers 1, 2, 3 et 4.

Pour suivre, Paul Éluard fait un appel au Parisiens et à la France avec un message d’espoir.

L’espoir de ce message est symbolisé par le champ lexical de la lumière : « un rayon » v.28 ; « étoile » v.22 ; « lumière » v.29 ; « s’allume » v.28 …  Le poète accentue l’effet d’espoir du message avec des comparaisons et des antithèses comme par exemple au vers 17 : « Fine comme une aiguille forte comme une épée » Le poète traduit l’espoir qu’il veut donner au peuple français en évoquant le présent d’énonciation : « Tu vas te libérer » v.21 et 24 ou encore « tu es vivant » v.12.

Pour finir,  le poète fait en même temps un appel à la Résistance à travers ce message d’espoir.

Paul Éluard, à travers ce message, accentue la solidarité et la fraternité de la France : « Frères » v.25 ; « nos ennemis » v.36. Il fait aussi une évocation symbolique du printemps : « L’espace du printemps naissant » v.34 ; « Et c’est de nouveau le matin un matin de Paris » v.32. Le poète utilise le champ lexical de l’héroïsme en faisant référence aux personnes qui se sont battus pour la France : « Les meilleurs d’entre nous sont morts pour nous » v.30 ; « Et voici que leur sang retrouve notre cœur » v.31.

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