Le droit au Ve siècle en France
Chronologie : Le droit au Ve siècle en France. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar madfr • 13 Novembre 2019 • Chronologie • 628 Mots (3 Pages) • 458 Vues
La théorie de dépendance et de protection n’est plus applicable aux sociétés modernes :
Les observations de la partie que vous a présenter Maxime (soit la partie précédente), ont pour but de combattre un faux idéal de la société. Elles fixent l’esprit du lecteur sur une distribution meilleure et une rémunération plus large du travail. Il est donc indispensable que la somme des produits augmentent par rapport au nombre des personnes qui y prennent part. Mais cela dépend des habitudes et des opinions de la classe la plus nombreuse, celle qui vie de ses mains.
Nous avons donc là une idée de classe sociale. Comme le dis l’auteur dans le passage nous avons ici une classe laborieuse ou une classe travailleuse. Mais l’auteur précise cependant qu’il se permet de les différencier en utilisant se therme pour se conformer à la coutume et parce qu’elles expriment un état de relation sociale qui n’a rien d’absolue ni de permanent.
Pour John Stuart Mill, il est insupportable de posséder au sein de la société une classe sociale composé de personne capable de travailler dépourvue de travail. Et tant que cette classe existera les travailleurs formeront eux aussi une classe. De nos jours de plus en plus d’études se mettent d’accord pour dire que cette classe n’est pas ce qu’elle doit être. Ces études ont mis sous la lumière l’existence de deux théories opposées qu’il conviendrait de mettre en application pour la classe des travailleurs (Pauvre).
La première : Le sort des pauvres devrait être réglé pour leur intérêt mais par autrui afin d’éviter qu’ils aient besoins de penser par eux même. Cette théorie suppose que les classes supérieures devraient penser pour eux et les diriger comme le feraient des officiers pour ces soldats. L’attitude des hautes classes doivent être par conséquent irréprochable pour inspirer respect et confiance. Le riche serait une sorte de père ainsi qu’un professeur pour le pauvre à qui on ne demanderait à ce dernier de ne rien faire d’autre que son travail de tous les jours et de s’instruire sous la tutelle de son maître. Cependant l’idée de donné autant de pouvoir à certains individus isolé est déplaisante. Car comme l’histoire a pu le prouver, le pouvoir ne sert qu’à satisfaire l’égoïsme de ces individus supérieur en méprisant les classes travaillant pour elles. Mais l’auteur ne dis pas que ce qui a été doit toujours être mais seulement que si le mal peut diminué par l’apprentissage de la vie, seule la disparition du pouvoir lui-même peut le faire disparaitre.
Donc d’après l’auteur aucune classe sociale n’a besoin des protections supplémentaire d’une classe sociale puisque la loi nous protège déjà.
La deuxième est que le bien être d’une classe laborieuse dépend surtout de sa culture intellectuelle. Nous ne pouvons pas gouverner les pauvres comme des enfants. Il ne faut donc plus diriger ces hommes mais leurs présenter les différentes possibilités comme à des égaux et devront être capable de prendre eux même leurs décisions à leurs risque et péril. Donc l’avenir sera bon ou mauvais, selon qu’ils deviendront ou deviendront pas des hommes raisonnables. Mais pour cela il faudra les instruire en leur apprenant à lire et se cultiveront eux même grâce aux journaux et au brochure politique. Ce système permettrait de rendre les classes laborieuses moins influençables. Avec le temps cette classe voudra certainement s’auto gouverner mais il est fort probable que pour cela elle demande dans la plupart des cas à la législature des règles pour l’encadrer.
Mais dans le futur c’est leur volonté propre, leurs idées propres et leurs projets, qu’elles voudront faire prévaloir, sans accepter les règles que d’autres prétendraient leur imposer. Cependant les ouvriers pourront très bien respecter la supériorité scientifique et intellectuel mais se seront les classes laborieuse qui jugerons elles même si telle ou telle personne est respectable.
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