Les publicités influencent-elles le comportement des gens ?

I. Description du lieu et du contexte :

        Etudiante infirmière de deuxième année, j’effectue mon stage du semestre 3 à l’hôpital en service de pédiatrie et d’urgences pédiatriques. il y a une équipe pluridisciplinaire composée de pédiatres, d’infirmières, d’auxiliaire de puériculture, d’agents de services hospitalier (ASH). Il y a une seule partie du service ouverte par manque de pédiatre, on peut accueillir 10 enfants tous dans des chambres individuelles avec salle d’eau et WC. Les urgences pédiatriques sont ouvertes de 10h à 22h.

L’analyse de pratique professionnelle se portera sur la communication lors d’un soins sous méopa, chez une jeune garçon J. de 10ans, il est arrivé avec les pompiers et son institutrice aux urgences pédiatriques vers 19h, pour une brûlure de café au pied droit.C’est une brûlure de second degré, avec des phlyctène à percer.  Pour que le jeune homme ressente moins la douleur, son pansement effectuer par l’infirmière à été fait sous méopa. Il était en voyage scolaire à Fréjus.

II. Description de l’acte :

Avant le soin :

        Je prépare le patient qui était allongé sur le brancard, je lui ai dit qu’il se détende et qu’on allait lui mettre un masque pour qu’il ressente moins la douleur, et qui pouvait en rigoler. J’ai préparer le matériel : l’entonox (gaz à respirer), le tuyau qui permet de faire sortir l’air expiré que je mets à travers la fenêtre afin qu’on est pas les effets du méopa aussi, je prépare un masque avec un ballon adapté dessus et relié à la bouteille d’entonox. J’ai mis l’air à 15 (au maximum) pour gonfler le ballon puis à 12. Je lui ai mis le masque sur le nez et lui ai dit qu’il fallait qu’il respire tranquillement comme d’habitude et que le ballon devait rester gonfler.

Pendant le soin :

        Je tiens le masque tout le long du pansement et lui dit que c’est bien qu’il faut qu’il continue de respirer comme il fait, Je lui demande s’il voit des éléphants roses ou quelques choses d’autres, il me dit non en souriant. Je lui dit que j’indiquerais ce qu’allait faire l’infirmière. Je lui demande si il ressent l’effet du méopa, il me dit qu’il a quand même mal  à certain moment du pansement mais moins qu’au début. Je décide de lui poser des questions pour qu’il pense à autre chose et qu’il ne reste pas concentrer sur son pied et la douleur. Je lui pose donc des questions comme : en quelle classe il est, d’ou il vient, depuis combien de temps ils sont arrivé avec sa classe pour leur voyage scolaire sur Fréjus et quand il reparte. Je lui demande aussi si il des frères et soeurs, si il fait du sport. En répondant à mes questions, il enchainé naturellement sur d’autres sujets en lien avec mes questions, et me raconter certaines choses en rigolant. Tout en parlant avec lui je lui disais dès que l’infirmière faisait une partie du pansement (pose de tule gras sur son pied, puis du flamagyl, et enfin le pansement).

Après le soin :

        Je lui demande si ça va, je lui retire son masque après l’avoir éteint et lui dit qu’il ne peut pas se lever de suite le temps que les effets du masque disparaissent totalement au bout de quelques minutes, il me dit qu’il à encore mal et le médecin lui prescrit alors un ibuprofène, que j’ ai ensuite administré.

J’ai ensuite jeté le masque avec le ballon dans la poubelle, enroulé le tuyau qui permettait à l’air expiré de sortir et ranger l’entonox dans le couloir.

III. Cadre législatif :

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