Les inégalités sociales dues aux handicaps moteurs
Fiche : Les inégalités sociales dues aux handicaps moteurs. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar paololbarjo • 6 Juin 2017 • Fiche • 3 009 Mots (13 Pages) • 1 110 Vues
PARTIE I: LES INEGALITES SOCIALES DUES AUX HANDICAPS MOTEURS.
A) Le quotidien des handicapés:
Dans la société d’aujourd’hui (cela n’a pas été le cas de tous temps ?), nous pouvons remarquer qu’être handicapé est très souvent (toujours !)un poids pour les personnes concernées. Elles sont mises à l’écart par la société et sont sources victimes d’inégalités tout d’abord sociales expression !. En effet, nous pouvons observer que les handicapés sont souvent victimes de discrimination. Cela correspond c’est-à-dire à une inégalité de traitement fondée sur un critère prohibé par la loi, comme l’origine, le sexe, le handicap; dans des domaines visés par la loi tel que l’emploi, le logement, l’éducation selon la Halde, Haute Autorité contre Les Discriminations et pour l’Egalité. En France, il y a aujourd’hui, environ 800 000 personnes handicapés physiques selon l’INSEE, l’institut national de la statistique et des études économiques. Nous nous apercevons effectivement Des études montrent, que trois millions de personnes ont déclaré avoir été victimes de discriminations à la suite de problèmes de santé et de handicap, selon l’INSEE.
Le sport est également un sujet important (pour les handicapés !). Les handicapés bénéficient maintenant d’équipements particuliers et adaptés à leurs problèmes, qui leurs permettent de pourvoir faire du sport. Le premier problème est que ces équipements ne sont pas à la disposition de tous par rapport aux couts de ceux-là phrase à reformuler. Le second problème, est non pas qu’ils font du sport entre eux, mais plutôt qu’ils ne peuvent pas se mélanger avec les personnes n’ayant pas de problèmes physiques, ce qui les exclut en quelque sorte. Cela crée donc des problèmes sociaux et relationnels entre les handicapés physiques et ceux qui ne sont pas victimes de handicap. Il y a malgré tout les ‘jeux paralympiques’ qui sont mis en place, qui sont l’équivalent des jeux olympiques. Pour y participer Les personnes handicapées doivent faire une demande auprès de l’une des Maisons départementales des personnes handicapées qui dresse un bilan et établit un « plan personnalisé de compensation ».
Ce plan propose aussi des aides et des services aux personnes handicapées en fonction de leurs besoins, par exemple pour aménager leur logement, trouver du travail, etc. Les personnes handicapées sont deux fois plus nombreuses à ne pas assister à des spectacles (théâtre, cinéma, concerts, matchs sportifs) que le reste de la population : 25 % contre 13 % (Insee, 2001).
Une personne handicapée sur quatre ne part pas en vacances. S’ajoutent les difficultés financières de ces personnes qui appartiennent en majorité aux catégories sociales défavorisées. Dans le domaine du sport, même si les jeux paralympiques favorisent l’image de la participation des handicapés à la compétition, seule une très petite partie de la population est concernée : 66 216 personnes handicapées pratiquent un sport, soit à peine 4 %.
Aujourd’hui, les personnes à mobilité réduite subissent des problèmes au niveau des transports ou encore des logements. Par exemple, les handicapés ne peuvent prendre le métro seul dans l’immense majorité des cas car les infrastructures ne sont pas idéales pour eux et leur rendent tout déplacement en métro, ou encore en bus, compliqués voire impossibles même si dans ce cas-là de nombreuses innovations ont pris place depuis quelque temps avec notamment des espaces pour eux ou une petite marche pour qu’ils puissent entrer dans le bus correctement. Reformuler
Les handicapés ont du mal à trouver des logements adaptés à leur handicap. A cela s’ajoute les problèmes économiques. C’est à dire Dans le métro, le problème est de taille, mais les mises en place de structure nécessaire sont de plus en plus nombreuses. Ce développement des structures a surtout lieu dans les RER, dans les tramways, dans les bus où cela est développé et est plutôt agréable pour les handicapés, ou encore dans les métros. Le STIF, Syndicat des Transports d’Ile de France, est l'autorité organisatrice, coordinatrice et financeur des transports publics de voyageurs d'Île-de-France. Il définit entre autre les conditions générales d'exploitation, crée les titres de transport et fixe les tarifs. Il définit aussi l'offre de transport et le niveau de qualité des services dans le cadre de contrats signés avec les entreprises suivantes : RATP( la Régie Autonome des Transports Parisiens), SNCF(la Société Nationale des Chemins de Fer) et l’Optile(l’Organisation Professionnelle des Transports d’Ile de France). Ce syndicat a comme objectif principal, l’accessibilité des réseaux de transports aux personnes à mobilité réduites. C’est ce syndicat qui finance tous les développements de structure pour les handicapés physiques. Cette démarche qui associe le STIF, la région et les transporteurs se poursuit quotidiennement afin de permettre à tous de se déplacer plus facilement. L’ordre économique sera étudié par la suite. ?
Les personnes en situation de handicap bénéficient aussi de voitures les transportant jusqu’aux aéroports, ou encore pour les plus jeunes, un accompagnement jusqu’à leur lieu d’étude. Le site ‘parisinfo’ relai toutes les informations concernant le déplacement des handicapés physiques. Nous relevons notamment que le STIF a mis en place un site internet appelé ‘Infomobi’, ou tout handicapé peut trouver des informations quant à ses déplacements.
Ce même site ‘parisinfo’, nous informe que des taxis spécialisés, des locations de voitures sont possibles. Tout cela crée un problème social car il y a une forme de mise à l’écart qui est innocemment créé. Cela est dû au fait que les infrastructures mettent du temps à être mises en place, cela entraine un certain coûut. Leur quotidien (de qui) est donc très complexe. Même si des efforts sont faits dans les logements qui se construisent aujourd’hui, certaines portes dans les maisons ou appartements sont trop étroites pour le passage de personnes en fauteuil. Alors que la maison est un lieu où chacun devrait se sentir à l’aise, pour les personnes handicapées, elle se transforme souvent en véritable parcours d’obstacles. Dans la rue, ce n’est pas mieux. Les bus, les trains, les trottoirs, les bâtiments ne sont pas adaptés aux déplacements des personnes handicapées.
En général, les distributeurs automatiques de billets dans la rue, ou encore les guichets des cinémas et des théâtres, sont encore bien trop hauts
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