Comment et dans quels buts les ambitions maritimes et spatiales de la Chine s’affirment-elles?

En 1978, suite à la réforme d’ouverture de la chine par Deng Xiaoping, le pays a connu une libération économique se traduisant par de nouvelles initiatives individuelles et une ouverture importante de l’économie avec (les accueils de l’économie, des investissements étrangers, le développement des exportations, ZEP… ), toutefois malgré cette évolution le pays maintient un système politique autoritaire. Ainsi, le pays est passé d’une économie planifiée à une économie de marché ouverte. Il a pu rattraper voire même accélérer son développement et son taux de croissance. De plus, grâce à l’intégration de la Chine dans l’OMC en 2001, celle-ci devient la première puissance commerciale mondiale, en tête avec les Etats-Unis et se modernise. Notamment parce que la Chine fai du commerce à l'international. Par ailleurs, afin de développer ses axes de transport du pays, la Chine modernise aussi ses infrastructures portuaires. C’est alors que le président Xi Jinping introduit son projet de la nouvelle route, la route de la soleil, en 2013. Cette route anciennement appelée “u one belt road” évolue sous le nom de “belt and road initiative”. En effet, le président Xi Jinping met en avant ce changement afin de montrer le désir d’un espace d’influence en vue de garantir sa place de première grande puissance commerciale mondiale. De la Chine jusqu’à l’Europe, ce projet propose une rénovation de la route terrestre traversant le continent eurasien dont la l'élévation a été arrêtée au XVe siècle. De plus, se décide l’ajout de routes maritimes reliant ces deux espaces: détroit de malacca, océan indien, la mer rouge tout en longeant la corne d'Afrique. En outre, la Chine tente de se placer dans la future grande voie maritime qui sera créée suite à la fonte des glaces en Arctique créant alors un débat important pour le transport maritime, notamment par les enjeux de taille qui se placeront avec. C’est alors que la Chine voudra se placer auprès des plus grandes puissances, les Etats-Unis et la Russie. Ensuite, Xi Jinping vise l’amélioration des forces marines. Entre autres, le président ne se limite plus qu’au plan économique du pays, en effet, en 2018, suite à l’inspection de l’ALP, il se procure des sous-marins nucléaires d'attaque et de sous-marins nucléaire lanceur d'engins. Puis, après avoir conquis le maritime, le militaire ainsi que le commerce, la Chine vise un nouveau secteur très convoité celui de l’espace. En effet, celle-ci rejoint en janvier 2019 la course à l’espace. Notamment par le projet du programme d’exploration qui s’est affirmé et mis en place, en vue de s’octroyer des échantillons des deux faces de la lune et envoyer un taikonaute à l'horizon 2036. Par ailleurs, la Chine aspire de nouveaux projets tel que l’exploration des planètes Vénus, Mars Jupiter. C’est alors que se confirme que la Chine prouve ses ambitions terrestre maritime ainsi que spatiales grâce à sa détermination d’une politique d’affirmation.

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