Comment retracer les migrations humaines et comment connaitre les liens de parenté entre ces espèces ?
Analyse sectorielle : Comment retracer les migrations humaines et comment connaitre les liens de parenté entre ces espèces ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar xterna • 21 Décembre 2023 • Analyse sectorielle • 330 Mots (2 Pages) • 287 Vues
- Caractéristiques du génome humain actuel (nombre de gènes, de nucléotides, de chromosomes, …) ; doc1p54
(INTRO) Il y a 200 000 ans c’est la première apparition d’un être humain en Afrique centrale, on peut aujourd’hui retrouver des être humains partout dans le monde l’être humain a conquis la terre et résisté aux maladies qui menaçait son extinction et su évoluer pour s’adapter à son environnement.
Comment retracer les migrations humaines et comment connaitre les liens de parenté entre ces espèces ?
(DEVELOPPEMENT)
Doc6p49(que les cercle de proportion) : L’homo sapiens apparu il y a 200 000ans possède un génome de 3 milliards de paires de bases réparties sur 22paires de chromosomes et 2 chromosomes sexuels, il a également
20 000 gènes cependant aucun n’est propre à l’humain, on peut retrouver tous ses gènes chez les primates.
De plus la majorité de l’ADN est non codante seule une partie beaucoup plus petite code elle est appelé gène et parmi ces gène on ignore plus de la moitié des fonction de ces gènes.
Doc1p48 en fonction de l’organisme, la taille du génome varie par exemple 3600 bases pour un Bactériophage MS2 RNA contre 3milliards de paires de bases pour un homo sapiens
doc2p52 : grâce à l’analyse des génomes des fragments d’os retrouvés dans cette grotte de l’Altaï située en russie, les chercheurs se sont rendus compte qu’il ne s’agit ni d’homo sapiens ni d’homme de Néandertal c’est un humain que les chercheurs vont nommer Dénisoviens.
(CONCLUSION) On peut en conclure que grace à l’étude des génomes, et de l’ADN les chercheurs ont pu retracer les migrations des hommes au travers des ages ainsi que leur évolution et on a même pu découvrir une nouvelle espèce d’hommes les denisoviens en plus de ça, le SNP nous permet d’étudier les variations des hommes vis à vis de maladies et des caractères physiques et aussi leur évolution en fonction de leur habitat et donc leur différents allèles sélectifs.
Serait il possible d’utiliser les mêmes méthodes pour les animaux ?
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