Le concept de socialisation dans la manière d'aborder les enfants des deux sexes

Les parents traitent différemment les garçons et les filles pendant leurs enfances. Ceci marque donc de manière durable leurs parcours social. À l’aide du texte La socialisation sexuée à l’école, nous allons essayez d’expliquer les conséquences la socialisation vécue les garçons et les filles dans leurs familles en soulignant les caractéristiques de la socialisation.

Nous définissons la socialisation comme étant le processus par lequel la personne humaine apprend et intériorise tout au cours de sa vie les éléments socioculturels de son milieu, les intègres à la structure de la personnalité sous l’influence d’expériences et d’agents sociaux significatifs et par là s’adapte à l’environnement social où elle doit vivre. Dans le texte, les parents des enfants sont définis comme des agents sociaux. Ce sont des personnes significatives, qui ont des interactions récurrentes avec leurs enfants et on la tâche d’intégrer ceux-ci dans la société.

Nous notons dans notre lecture que les bambins apprennent et intériorisent les connaissances, les modèles et les valeurs propre au groupe ou à la société dans laquelle ils vivent, comme dans l’exemple suivant : «L’enfant ne cesse d’observer les adultes et s’évertue à les imiter afin de correspondre au modèle culturel de genre que ces derniers projettent dans le quotidien.(p.152 l.25)». Nous pouvons donc relever que l’enfant imite les adultes qui leurs servent de modèles , l’imitation des parents étant une des manières que les enfants utilisent afin de se décelopper. L’intégration des enfants est un autre critère important que nous devons observer dans le développement des enfants pour expliquer la socialisation. Le phénomène de l’intégration s’exprime par le fait d’avoir si bien appris les connaissances, les modèles et les valeurs de la société qu’elles semblent intégrées dans le comportement de l’enfant. À la page 152 du texte nous pouvons observer une autre caractéristique de la socialisation: «En raison de se soucie de plaire et de la perception de fragilité souvent associée à la féminité, la fillette risque de douter de ses capacités d’aller de l’avant et de devenir plus observatrice que participante.» (l.14) Nous observons ici un exemple d’intégration, la fillette qui sans le réaliser, comprend que l’on attend d’elle d’être moins ¨fonçeuse¨ que les garçons. Elle devient alors plutôt observatrice, appliquant ceci comme une règle sociale

En conclusion, nous pouvons donc affirmer que la socialisation vécu à travers l’éducation familiale par de jeunes enfants est différente dû aux traitements divergents que leurs réservent leurs parent selon le sexe de leurs bambins.

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