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En quoi les stéréotypes dans les programmes d’animation influencent-ils les jeunes enfants dans le processus de socialisation?

Analyse sectorielle : En quoi les stéréotypes dans les programmes d’animation influencent-ils les jeunes enfants dans le processus de socialisation?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Décembre 2013  •  Analyse sectorielle  •  2 071 Mots (9 Pages)  •  1 352 Vues

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En quoi les stéréotypes dans les programmes d’animation influencent-ils les jeunes enfants dans le processus de socialisation ?

PANCARTE 1 :

Nous sommes trois élèves en classe de première ES. Ici dans le cadre des travaux personnels encadrés, nous avons le plaisir de vous présenter notre production. Cette dernière concerne les stéréotypes au sein des programme d’animation, dont la problématique est « En quoi les stéréotypes dans les programmes d’animation influencent-ils les jeunes enfants dans le processus de socialisation ? ».

Nous souhaiterions vous présenter le choix de notre support. Ainsi suite à notre sujet nous avons employé la télévision, en adéquation avec notre ce dernier.

En effet la télévision est l’un des moyens les plus efficace pour transmettre les stéréotypes aux jeunes enfants qui en deviendront dépendant.

Le détail de la police n’est pas aléatoire. Nous l’avons sélectionné afin qu’elle représente l’écriture d’un journal. Tous les médias sont représentés : magazine, télé…

PANCARTE 2 :

Dans un premier temps, il est important de restituer des informations nécessaires à la compréhension du processus de socialisation dont plus précisément la socialisation primaire concernant l’enfant. La socialisation de l’enfant s’effectue selon deux mécanismes de socialisation qui en sont deux conceptions différentes de ce processus. La socialisation analysée en thermes d’inculcation et de soumission des individus aux impératifs sociaux et la socialisation qui résulte de l’interaction, met l’accent sur le rôle actif de l’enfant dans le processus de socialisation. La socialisation de l’enfant est un processus par lequel le groupe transmet des valeurs, des normes et des rôles sociaux à l’enfant qui se construit sont identité en relation avec les autres, ce qui lui permet d’agir sur le monde dans lequel il vit. La première instance de socialisation est la famille qui est une instance de socialisation primaire. Très tôt dans son développement, l’enfant est soumis à des stéréotypes de genre transmis par l’entourage. Les parents développent même avant sa naissance, des attentes socialement conformes au sexe biologique de l’enfant. On pourrait presque parler de « conditionnement » pour qualifier l’accompagnement des parents dans le développement stéréotypé de l’enfant. Le rôle des parents concerne la vérification et l’adaptation du programme à l’enfant (important de vérifier les symboles/logo de prévention). L’école est une deuxième instance de socialisation primaire. La famille a pour objectif de transmettre une éducation tandis que l’école fait acquérir un programme officiel ainsi qu’un contenu caché (le respect d’autrui). On peut aussi citer les groupes de pairs et les médias dont les dessins animés qui ont une répercussion considérable au quotidien. L’image du dessin animé, vecteur de stéréotypes n’est donc pas un outil inoffensif. L’influence qu’elle exerce sur l’esprit peut aller du meilleur au pire comme nous allons le mettre en évidence tout de suite.

PANCARTE 3 :

Même si la plupart des stéréotypes servent à guider nos jugements, et plus particulièrement, ils nous permettent de porter un jugement rapidement et sans efforts. Nous avons constaté au fil de nos recherches, qu’il existe des stéréotypes à effets négatifs. Dans un premier temps, nous retrouvons le sexisme. Ce dernier se manifeste par des préjugés fondés sur le sexe d’une personne. Dans la majorité des cas, les victimes sont les femmes. On le constate avec des inégalités sociales qui persistent dans le temps, malgré une évolution des mentalités des différences entre les hommes et les femmes persistent. Dans un second temps, c’est la discrimination qui fait son apparition. Cette dernière va principalement avoir des effets psychologiques sur l’individu visé. De plus la discrimination contribue à une dévalorisation de l’image de soi chez les « victimes », et ça dès le plus jeune âge. Ainsi, se sont des minorités en nombre, qui vont assimiler ces stéréotypes négatifs les visant directement. Ils vont alors adopter les attitudes de la majorité, ce qui fait référence au processus de « conformisation » et parallèlement d’intégration. Il existe un effet relatif au fait que les victimes de la discrimination ont tendance à développer des dispositions à échouer, d’après la recherche de Rosenthal et Jacobson (1968 : l’effet Pygmalion). Cette étude nous a montré que les individus vont avoir tendance à améliorer le perception qu’ils donnent vis à vis d’autrui. Cet effet désigne le fait de créer chez les autres ce que l’on attend d’eux.

PANCARTE 4 :

En effet le jouet est un objet important qui participe au développement et a la socialisation du jeune enfant. Les parents choisissent des jouets appropriés au sexe de l’enfant ils encouragent l’utilisation d’objets spécifiques à chaque genre. Les jouets participent à l’apprentissage, qui préparent les enfants à reproduire les rôles qui sont attribués leur genre. On observe donc que les petites filles ont des jouets liés au contexte familial, c’est à dire des jeux d’intérieur liés aux tâches ménagères (dinette), au pouponnage et a la coquetterie.. A l’inverse des garçons qui eux, préfèreront des jeux physique et d’extérieur (comme jouet a la guerre). Sur le marché, on voit alors apparaître des rayons de jouets très stéréotypés. Les rayons dits de filles sont remplis de robots ménagé, poupées, Barbie, maquillage etc. . Alors que les rayons dits de garçon sont remplie d’arme, de voiture, héros guerrier, accessoire de sport. Cette différentiation sexuées se retrouve dans les pages de catalogue de jeux pour enfant, ils sont divisée en 3 partie, celle pour les garçon, avec des pages dans les couleurs foncer dans les ton bleu ou vert, celle pour les filles avec les couleurs plus féminine telle que le rose ou le violet puis la partie mixte avec des couleurs neutre et claire telle que le jaune. Parfois pour qu’un jouet soit caractérise de fille ou garçon il n’y a que la couleur, la forme du logo ou encore le texte décrivant le jouet qui change alors que ces fonctionnalités reste les mêmes.

De plus, Crystal Smith une écrivain américaine a réalisé une étude portant sur le vocabulaire employé dans les publicité pour jouet, comme vous pouvez le voir sur l’image elle a listé les 658 mots qui revienne le plus souvent dans 27

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