Les repas festifs

Culture générale et expression

DEVOIR N°3

Question 1 : Analyse des documents, et extraction des idées à retenir.

1. Dans ce premier document, il s'agit d'un article d'une université de Provence, rédigée par Jacqueline Voisenet en 1996.

Cet article de type descriptif et informatif, décrit ici la façon de vivre, qu’avaient la monarchie et les seigneurs au Moyenne âge, au sein de l'empire de Germanie.

En effet, le banquet semble, à cette époque, avoir une place importante dans ce qu'il véhicule.

Il va permettre de montrer sa générosité, en invitant du monde, et en leur présentant un repas qui va les épater. En effet, un domestique pouvant égaler, voire surpasser, le roi, est commandé.

Ce repas sera le moment d’étaler ses richesses. Il faut présenter un repas copieux, avec beaucoup de viandes (chose qui n’était pas courante au sein de la classe à cette époque), et des cadeaux de valeurs sont offerts.

Leur train de vie est très différent de celui de la classe moyenne.

Il y a une face à montrer.

1. Dans ce deuxième document, de type narratif, il s'agit d'un extrait de roman écrit par Emile Zola en 1877.

Dans ce roman, on décrit un banquet offert par une blanchisseuse à ses amies. Le repas est offert dans la blanchisserie en plein paris.

La nourriture est très abondante, il y a plusieurs sortes de viandes (met onéreux à cette époque ou la faim existe), et le vin coule à flot ("comme de l'eau"!)

Les personnes sont contentes de se retrouver entre amis, chacun fait quelque chose : couper l’oie, servir le vin.

Il ne semble pas y avoir beaucoup de classe autour de ce repas, les femmes ne voient pas de problème à se déshabiller, tout le monde profite de l’occasion pour beaucoup manger voire même se goinfrer jusqu’à en tomber malade. On ne parle que de nourriture autour de la table. On fait beaucoup de bruit, sans aucuns soucis pour les voisins.

On ne boit pas d’eau, on se distingue en buvant du vin, bien qu’étant de mauvaise qualité.

1. Ce troisième document de type descriptif et informatif, est extrait d’une revue parue en 2006. Il a été rédigé par Jacqueline Lalouette, et traite du sujet des femmes, dans les banquets politiques en France, au XIXème sciecle.

Cette description de banquet intervient en période de crise, alors que Louis Philippe était au pouvoir.

En effet ce festin a pour finalité de rassembler les opposants au régime actuel. Les personnes invitées ne sont plus des ouvriers mais des personnages politiques.

Ce banquet est organisé à l’avance, 1600 personnes sont invitées. Il y a de l’élégance, de la bonne viande en grande quantité, du poisson, et beaucoup de vin.

Des femmes sont présentes à ce banquet. Toute fois elles sont utilisées en tant que tapisserie de décoration. Elles apparaissent à travers les fenêtres, leur avis politique n’a pas d’importance, et elles n’ont pas plus de valeur qu’un jolie bouquet de fleurs.

1. Nous avons dans ce 4ème document, un extrait de L'Homme et le Sacré, rédigé par Roger Caillois, au début du XXème siècle.

Il s’agit d’un essai de type argumentatif et explicatif qui décrit ce qu’est une fête aujourd’hui et ce qu’elle était autrefois.

En effet les valeurs de base n’ont pas changés. Même si les proportions étaient multipliés à l’époque, la fête reste le moment pour se défouler, s’autoriser ce qui est interdit en temps normal, se permettre tous les excès, se gaver, boire, danser, chanter, à en tomber malade.

Pour Roger Caillois, c’est le sens même de la fête.

Question 2 : Résumé du document

Même si aujourd’hui, la fête est atténuée, par rapport à ce qu’elle était autrefois, elle garde toutefois son concept social, à savoir, briser les habitudes quotidiennes, en s’autorisant tous les excès. Il s’agit de boire, de chanter, de danser, de se gaver, jusqu’à s’épuiser, voir même à en tomber malade : c’est le sens même de la fête.

(58 mots)

Question 3: Développement personnel.

Aujourd’hui, au 21ème siècle, en France ou même ailleurs, les repas festifs ne ressemblent plus à ceux d’autrefois. Nous verrons que les éléments centraux de ces réunions ne sont plus les mêmes, et qu’à notre époque, la façon de vivre ces repas a changé.

En effet, d’après les textes étudiés, les repas festif d’autres fois, alors que nous étions au moyen âge, et que la population connaissait la famine, étaient des repas pantagruéliques, ou l’on s’acharnait sur la nourriture.

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