Marché de la confiserie

Marché de la confiserie

Structure de l’offre

Le marché de la confiserie se caractérise par une très grande variété de produits qui sont proposés aux consommateurs.

Sur le marché de la confiserie, on distingue principalement les 5 segments suivants :

Les différentes marques de bonbons et confiseries pour enfants :

Carambar Malabar

Chupa-chups Pez

Haribo Pimousse

Hubba bubba Pierrot gourmand

Krema Skittles

Look o look Topps

lutti

Les différentes marques de bonbons et confiseries pour adultes et familles :

Campino Menthe Claire

Drops Michoko

Festifolies Ricola

Fruitella Verquin

Goms Vichy

Haribo Victors

Krema Werther’s

lutti

Les différentes marques de petites confiseries de poche :

Campino Meller

Drops Mentos

Eclipse flash Ricqlès

Fisherman’s friends Ricola

Frisk Skittles

Fruitella Smint

Halls Stoptou

Haribo Tic-Tac

Hollywood La Vosgienne

Kiss Cool Vichy

Lajaunie Werther’s

Les différentes marques de chewing-gum :

Airwaves Fishermans friend

Freedent Stimorol

Frisk Tonigum

Hollywood X-cite/Eclipse

Mentos

Macro environnement sur la confiserie

Les macro environnements sont des facteurs externes. Ce sont des variables incontrôlables, qui influencent les organisations sans que celles-ci puissent agir sur leurs causes. Elles sont au nombre de six :

MACRO ENVIRONNEMENT DEMOGRAPHIQUE:

Influences positives (opportunités) :

En janvier 2009, la population française était de l’ordre de 64 304 500 habitants. Au 1er janvier 2012, la France en compte 65,35 millions, soit une évolution de 1.63% en 3 ans. Cette augmentation de la population a des effets positifs sur le marché de la confiserie en permettant d’élargir le marché. La France est l'un des seuls pays d'Europe où le taux de natalité progresse. Il est actuellement de 2,1 enfants par femme. Ainsi cela représente une opportunité car ces enfants seront des futurs consommateurs pour le marché de la confiserie.

Influences négatives (menaces) :

En revanche, la France connaît un vieillissement de la population depuis le baby-boom des Trente Glorieuses. En effet la population des plus de 65 ans représente 17% des Français aujourd’hui et ne cesse de s’accroître. Le troisième âge est beaucoup plus soucieux de leur santé, ils consommeront donc moins de confiseries ce qui peut être une menace pour le marché.

MACRO ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE

Influences positives (opportunités) :

Depuis les trente dernières années, le pouvoir d’achat des français à augmenté, même si la part consacrée à la dépense de confiseries reste la même. En raison de cette augmentation, les dépenses en valeurs augmentent.

La part des dépenses en confiserie reste stable, car les français y consacrent toujours une part de leur budget afin de se faire « un petit plaisir ».

Influences négatives (menaces) :

Depuis la crise de 2009, le chômage a fortement augmenté et on peut donc penser à une menace pour ce marché, car le consommateur achèterait surtout des produits indispensables pour vivre, au détriment des « petits plaisirs » que constitue la consommation de confiseries.

MACRO ENVIRONNEMENT SOCIOCULTUREL

Influences positives (opportunités) :

En France en 2010, 79% des adultes pensent que la confiserie est un « petit pêché qui ne fait pas de mal » et 60% des femmes l’apparentent même à un remède anti-stress. Une large majorité (chez les adultes) apprécie donc la confiserie et a tendance à en consommer.

De plus, il existe des fêtes culturelles et traditionnelles qui poussent à l’achat et la consommation de confiseries, comme Pâques et Noël notamment. Cela induit deux pics de vente de confiseries dans l’année (avril et décembre) ainsi qu’un troisième moins prononcé au mois d’octobre à l’occasion d’Halloween (10% des ventes annuelles).

La confiserie correspond à deux tendances socioculturelles actuelles :

• La confiserie en tant que « récompense » après un long travail ou un travail difficile, est une tendance qui se développe avec l’augmentation du stress et des tensions dans le monde du travail.

• La consommation de confiseries est également un moment qui rappelle l’enfance et ses souvenirs, et répond donc à une quête de nostalgie.

Influences négatives (menaces) :

Depuis 2007, les préoccupations des personnes et du gouvernement en terme de santé ont induit les publicitaires à insérer les célèbres messages visant à lutter contre la « malbouffe », le grignotage et autres tendances de consommations nocives pour la santé. D’après une étude Inpes de 2008 (Institut National de Prévention et d’Education pour la santé) : 87 % des Français accueillent favorablement les messages insérés dans les publicités alimentaires,

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