Question sur l’intégration et résumé de chimie organique
Résumé : Question sur l’intégration et résumé de chimie organique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Audrey Parent • 9 Juillet 2021 • Résumé • 4 858 Mots (20 Pages) • 401 Vues
Questions sur l’intégration
Résumé des trois composantes du processus d’intégration :
- La rétention : cette composante signifie que nous emmagasinons les connaissances utiles.
- Le transfert : c’est l’étape où il faut réfléchir sur comment ces connaissances peuvent être utilisées pertinemment.
- La métacognition : cette dernière composante du processus d’intégration nous fait réfléchir sur comment nous pouvons apprendre à la suite de tout cela… Bref, que pourrons-nous développer grâce aux nouvelles connaissances acquises ?
Il existe de nombreux virus comme le Coronavirus, l’Ébola, le Zika, la H1N1, le VIH et l’herpès qui tuent l’humain chaque jour. Il faut savoir que lorsqu’un virus entre dans l’organisme, il se reproduit et grossit en pénétrant dans les cellules de l’humain. De plus, il peut éviter les mécanismes cellulaires du vivant pour rester en vie. Cet usage à la mémoire peut être un exemple de la rétention, c’est-à-dire un emmagasinage des connaissances pertinentes et essentielles dans la mémoire à long terme puisque ces informations ont été nécessaire à la réalisation de leur expérience. Ainsi, grâce à leurs connaissances sur le sujet, une vingtaine de chercheurs spécialisés au niveau des virus et des nanomatériaux ont utilisé la seconde composante de l’intégration : le transfert. En d’autre mots, ils ont réutilisé les apprentissages qui leurs ont été enseignés afin d’ensuite les appliquer à une situation. Ces chercheurs ont réussi à créer des nanoparticules d’or qui permettraient de détruire un virus dans un organisme. En effet, ces nanoparticules imitent une protéine de surface cellulaire sur lesquelles les virus se lient après avoir infecté la cellule saine. Par la suite, une pression est créée lorsque le virus se lie à la nanoparticule d’or, ce qui ouvre la molécule du virus et celui-ci devient alors inoffensif. La métacognition est illustrée, ici, puisque les chercheurs ont su prendre conscience de la manière dont les nouveaux apprentissages ont été appris pour ensuite les utiliser dans une nouvelle connaissance lorsque les connaissances acquises ne peuvent pas servir. Donc, ces derniers ont créé quelque chose de nouveau grâce à leurs nouveaux acquis car les connaissances qu’ils détenaient auparavant ne suffisaient pas.
Résumé des étapes de la méthode scientifique :
- Les observations : À l’aide d’une analyse et d’une observation des données rigoureuse, les scientifiques peuvent décrire des structures et des processus naturels le plus minutieusement. L’observation sert à utiliser les sens pour recueillir des données.
- La question : La question à laquelle trouver une solution
- Formulation d’une hypothèse : Les observations et le raisonnement inductif poussent à chercher les causes du problème et des explications. C’est pourquoi un formule une réponse provisoire à une question précise que l’on surnomme hypothèse. Elle conduit `des prédictions qu’on peut vérifier en consignant d’autres observations ou en réalisant des expériences. Nous formulons des hypothèses pour résoudre un problème par essais-erreurs.
- Vérification de l’hypothèse : Lors de cette étape, il faut expérimenter l’hypothèse suggérée.
- Conclusion : L’hypothèse est-elle réfutée ou non réfutée ?
Des chercheurs spécialisés dans le domaine du virus ont observé que de nombreux virus comme le Coronavirus, l’Ébola, le Zika, la H1N1, le VIH et l’herpès tuent l’humain chaque jour. Il faut savoir que lorsqu’un virus entre dans l’organisme, il se reproduit et grossit en pénétrant dans les cellules de l’humain. De plus il peut éviter les mécanismes cellulaires du vivant pour rester en vie. Ceci est la première étape de la méthode scientifique soit les observations. En effet, les spécialistes ont fait leurs observations sur les virus et se sont ensuite demandé comment ils peuvent empêcher les virus de contaminer l’organisme vivant. C’est ainsi que les chercheurs ont combiné leurs informations sur le sujet avec des gens spécialisés en nanomatériaux et ensemble, ils ont émis une hypothèse : créer des nanoparticules d’or qui stimuleraient les cellules humaines auxquelles s’accroche le virus dans le corps. Donc, leur prédiction était qu’en créant les nanoparticules d’or, celles-ci arrêteraient la contamination du virus dans le corps. En vérifiant leur hypothèse lors de l’expérimentation, ils ont constaté que ces nanoparticules semblaient, en effet, imiter les protéines de surface cellulaire sur lesquelles le virus se lie après avoir infecté les cellules saines. Par la suite, une pression est créée lorsque le virus se l8ie aux nanoparticules d’or, ce qui ouvre la molécule du virus et celui-ci devient alors inoffensif. Donc l’hypothèse est non-réfuté, c’est-à-dire quelle fonctionne.
Résumé de chimie organique
Les hydrocarbures saturés
La structure :
Les hydrocarbures saturés dont la chaine de carbonée est constituée uniquement de liaisons simples (ex : les alcanes). Les hydrocarbures saturés linéaires ou ramifiés possèdent la formule brute suivante : CnH(2n+2), où n est un nombre entier naturel non nul comme nous pouvons le voir ici-bas.[pic 1]
[pic 2]
Les hydrocarbures saturés cycliques possèdent une formule brute différente. Celle-ci varie en fonction du nombre de cycles que contient la molécule. S’il n’y a qu’un cycle : CnH2n. s’il y en a deux : CnH(2n+2). Chaque cycle requiert une paire d’atome d’hydrogène en moins. La formule brute générale est : CnH(2(n-c)+2) « c » étant le nombre entier naturel de cycles.
La chaine carbonée des alcanes étant formée d’atomes de carbone tétracoordiné (hybridation sp3), l’angle que font entre elles les liaisons qui en sont issues est voisin de 110. Les interactions (répulsives) entre atomes non liés portés par deux carbones voisins varient avec leurs positions relatives, c’est-à-dire avec la conformation de la chaine. L’énergie interne de la molécule d’alcane varie donc avec sa conformation, le minimum d’énergie correspondant à la situation dans laquelle les liaisons issues de deux carbones voisins sont décalés anti et le maximum à la configuration éclipsée (cf. conformation –Chimie). Cette variation d’énergie avec la rotation des groupes autour des liaisons C-C entraine donc un gène (stérique) à cette rotation : l’augmentation d’énergie correspond au passage d’un couple d’atomes de la conformation décalé anti à la conformation éclipsée est de l’ordre de 13 Kj/mole, c’est-à-dire que, à température ordinaire, les alcanes liquides ou gazeux présentent une population conformationnelle très diverse dans laquelle prédominent les conformères décalés anti. À l’état solide, par contre, les chaine sont tendance à adopter une conformation toute décalée anti, c’est-à-dire une structure plane en zigzag.[pic 3][pic 4]
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