Les enjeux éthiques et légaux. Drummondville, le 10 janvier 2014
Étude de cas : Les enjeux éthiques et légaux. Drummondville, le 10 janvier 2014. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Steph Bo • 26 Octobre 2016 • Étude de cas • 3 645 Mots (15 Pages) • 768 Vues
Drummondville, le 10 janvier 2014
ADM 3028
Travail noté 3
Question 1(Politique d’une entreprise en matière d’environnement)
a) En regard, avec les grandes lignes directrices de la politique de Apple en matière d’environnement, je peux résumer celle-ci en une équation de valeur en terme d’environnement et qui signifie pour Apple en bout de ligne d’impact total sur celui-ci.[1] Tous les efforts environnementaux d’Apple afin de mesurer avec précision l’empreinte environnementale, se calcul en faisant une analyse du cycle de vie de ses produits afin d’en évaluer les effets sur l’environnement et ayant pour bienfait un objectif d’analyse de l’utilisation de ses ressources, tout en réduisant l’impact environnemental des activités nécessaires pour fabriquer, distribuer, utiliser et éliminer un produit. Au niveau de la fabrication, on peut y voir des moyens de procédés qui sont plus que positifs pour l’environnement, la soudure est créé par friction-malaxage ce qui réduit la consommation en matériaux de 68% et réduit en même temps les émissions de carbone de 67%, leurs produits sont exempts de substances toxiques à tous les niveaux[2], ils ont aussi travailler à élaborer avec des organismes du monde entier afin de valider et certifier les cordons d’alimentation sans PVC, y compris les pays n’ayant aucune norme. Apple a également éliminé les ignifugeants bromurés de milliers de composants et a fait place à des produits recyclés tels que : boîtiers en aluminium hautement recyclable, plastiques et papiers recyclés, des bio-polymères et des encres végétales. Du côté du transport, il vise l’emballage réduit en fabriquant des produits plus minces, légers et économes en matériaux. En troisième position dans l’équation, on y retrouve dans l’utilisation de leurs produits, depuis 2008, une réduction de la consommation énergétique de 40% et de la quantité de gaz à effet de serre de 43%[3]et tous les produits fabriqués par Apple sont homologués dans les plus strictes exigences du programme Énergie Star. Au niveau du recyclage, qui dans la stratégie d’Apple, commence dès l’étape de la conception en réduisant sa nécessité en matériaux et en prenant tous les moyens afin de recycler aux quatre coins de la planète et toutes les entreprises de recyclage doivent respecter les normes environnementales strictes d’Apple ainsi que toutes les législations applicables en matière de santé publique et de sécurité. Enfin, en dernière position dans l’empreinte environnementale de cette organisation se trouve au niveau des installations en utilisant uniquement de l’énergie propre et renouvelable pour tout leur centre de données et d’installations.
b) En regard avec le rapport du Club Informatique des Grandes entreprises françaises, « Du green IT aux SI écoresponsables », Apple répond aux indicateurs d’une organisation écoresponsable en couvrant les cinq domaines dont : premièrement, la conformité réglementaire et gestion des risques; en exemple d’indicateurs pour Apple on peut y retrouver une référentielle documentaire sur leur site en regard avec les lois et les normes[4] en environnement pour cette organisation, ainsi que le code de conduite de ses fournisseurs[5]. Deuxièmement, au niveau des relations humaines, cette organisation s’y réfère en pratique, de par l’intégration d’un forum sur le site Internet de l’organisation (www.apple.com/assistance/communautés), ils ont aussi mis en place des outils de mesures de consommations énergétiques, de déplacements écoresponsables (co-voiturage, vélo) de l’optimisation dans l’utilisation de produits dégageant des gaz à effet de serre, plusieurs indicateurs s’y retrouvent comme le taux de fréquentation sur le forum, le suivi de l’usage des outils de mesure et la mise en place de plans d’amélioration. Troisièmement, on retrouve aussi Apple dans le domaine de la relation avec ses fournisseurs, en indicateurs on peut y inclure : le nombre de matériels labélisés, une réduction de la consommation énergétique, un bilan sur le gaz à effet de serre et une analyse du cycle de vie de ses produits en relation avec ses fournisseurs. Au niveau du recyclage, Apple s’y conforme assurément de par sa stratégie élaborée dès la conception de ses produits jusqu’à la fin de leur cycle de vie, utilisant eux-mêmes des produits recyclés et ses indicateurs se retrouvent aussi dans la durée de vie de tous ses produits fabriqués. Le calcul du taux de recyclage effectué chez Apple est basé sur une durée de vie de 7ans, ce qui a laissé présager en 2010, un taux de recyclage de 70% dans le monde entier. En quatrième, on retrouve les indicateurs au niveau de leur centre de données qui sont écoénergétiques et approvisionnés à 100% en énergie renouvelable[6]. Et pour finir, selon le rapport du Club Informatique des Grandes entreprises françaises, on parle de « IT for green », qui du côté de Apple, se retrouve en indicateur au niveau des réductions de déplacements des employés ayant été établis. En ce sens, plus de 13 000 employés, en 2012, ont participé au programme de transport écologique de Apple, en utilisant des modes de transport visant à réduire la circulation, le smog et les émissions d’équivalents CO2 associées à l’utilisation de véhicules à occupant unique. Je crois que chez Apple tout est bien centré sur un impact environnemental positif et les dirigeants font en sorte d’y parvenir par tous les moyens qui sont mis à leur disposition. Cette société est très prometteuse face à notre environnement.
Question 2 (Cas de Grosjean et de Bonneville)
a) Je vais maintenant vous résumez ce qu’est une logique technico-économique en la mettant en parallèle avec la logique médico-intégrative. La logique technico-économique tient de deux constats, le premier constat est en lien avec la raison économique qui guide les choix technologiques et le deuxième fait référence à une approche « techno-centrée » guidée par une logique substitutive.
Selon le premier constat, de type « impératif productif », celui-ci relève de la façon de « gérer », dont les gestionnaires choisissent en privilégiant cette logique
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