Sociologie, hypersexualisation

1- Décrivez une situation tirée de votre vie ou de votre entourage qui permet d’illustrer le phénomène de l’hypersexualisation. Votre réponse doit permettre d’établir un lien entre un cas individuel et un phénomène social.

Le phénomène de l’hypersexualisation est présent dans la vie de tous les jours. Il n’y a pas une journée où je n’en vois pas. La raison de cela est que les médias, la télévision et l’internet ne cesse de promouvoir ce phénomène. Les annonces et les publicités rendent le corps de la femme et de l’homme comme objet sexué seulement, car le sexe fait vendre. C’est rendu un phénomène social par exemple dans les réseaux sociaux comme Instagram qui est application qui permet de publier des photos de votre vie quotidienne et les gens à travers le monde peuvent s’abonner à votre page. J’ai remarqué que les gens qui avaient beaucoup d’abandonné était souvent les filles qui montrent beaucoup de peau. Elles sont souvent en short ou jupe très courte et elles sont posées dans des positions sexy. Ce phénomène fait en sorte que plusieurs jeunes filles perçoivent ses femmes comme modèle unique. Elle pense que les filles qu’on voit dans les publicités et sur Instagram sont la norme. Les jeunes adolescentes adhèrent de plus en plus aux chirurgies plastiques, elles se font refaire les seins, fesses, nez, yeux et la bouche pour ressembler au modèle unique que les médias leur transmettent. En Corée du sud, l’obsession d’être comme le modèle unique est tellement rendu grave que la majorité des filles se ressemble à cause de la chirurgie plastique. Le phénomène de l’hypersexualisation est plus néfaste qu’on le pense sur la santé psychologique des gens. Les enfants quant à eux sont aussi exposés à l’hypersexualisation et les conséquences sont qu’ils vont manifester des comportements sexués qui ne suive pas leur psychologique et sexuel. Cela amène même plusieurs jeunes à avoir une sexualité précoce qui peuvent mener à des grossesses non désirées et ITSS, car ses jeunes manquent souvent d’information.

2- Selon vous, qu’elles institutions (au sens sociologique) fixent les normes en matière de sexualité aujourd’hui et comment? Était-ce les mêmes institutions il y a 50 ans. Expliquez.

Ce sont les revues, l’internet et les médias qui fixent les normes en matière de sexualité aujourd’hui, car ils sont facilement accessibles aux jeunes. Il y a 50 ans, les agents de socialisation en matière de sexualité étaient l’école, les amis et la famille. La sexualité était un sujet beaucoup moins aborder qu’il les en ce moment à cause du phénomène de l’hypersexualisation. Les médias diffusent beaucoup de matériel sexuelle et banalise les actions sexuelles. Les jeunes vont souvent apprendre sur la sexualité sur l’internet et ceux-ci peuvent les influencer sur leur comportement sexuel.

Les médias (publicité à la TV, journaux, panneau publicitaire sur l’autoroute, publicité dans les vitrines de magasin, la famille (par un éducation genrée, vêtue de rose dès le jeune âge, maquillage, imitation de maman ), les institutions scolaires (par une éducation genrée fille calme et douce, jeux de filles vs jeux de garçon ), l’industrie de la musique, les technologies (ordinateur internet, TV), l’institution de la santé…(chirurgie esthétique)

’institution est un terme polysémique qui désigne communément des structures organisées ayant pour fonction de maintenir un état social. Cette définition d’usage diffère de sa référence étymologique sur un point capital. Le mot vient du verbe latin instituo, instituere qui renvoie à la contraction de in statuo signifiant « placer dans », « installer », « établir ». La notion d’institution fait donc référence à une idée de mouvement précédant une situation et tendant vers un équilibre plutôt qu’à la consolidation durablement acquise d’un ensemble d’activités.

3- Le phénomène de l’hypersexualisation est-il plus dommageable pour les filles ou pour les garçons? Appuyez votre réponse par des exemples concrets et des références au film.

Le phénomène l’hypersexualisation, phénomène de société de plus en plus préoccupant, malgré le fait qu’il est en croissance chez les garçons, demeure plus dommageable pour les filles que pour les garçons. L’industrie de la musique contribue beaucoup à cette démolition de la femme. En effet, les vidéos de nos chanteuses et chanteurs populaires montrent souvent des femmes peu vêtues avec des hommes. On voit fréquemment dans ces vidéos, que la fille danse sur le garçon et non l’inverse. De plus, les paroles des chansons renvoient souvent une image qui rabaisse la femme. Prenons l’exemple de I’m a slave 4 U qui veut dire : je suis une esclave pour toi; je t’appartiens; je suis ton objet.

Le chanteur Pitbull quant à lui véhicule l’image que l’homme domine la femme non seulement par la présence de femmes peu vêtues dans la majorité de ses vidéos et sur scène, mais simplement par son nom puisque le nom de ce dernier fait référence à la race de chien pittbull (un simple t a été retiré)

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